Une période extraordinaire en trois parties
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
intermast,
Oral
pénétratio,
collection,
BDSM / Fétichisme
... raconterai ça un autre jour. Je prends aussi une sorte d’œuf vibrant dont le vendeur me vante les mérites, en particulier lorsqu’il est bien logé devant, et qu’un homme astucieux s’enfonce derrière. Ce type a tout de même le don de me faire mouiller, avec ses explications apparemment très techniques. Je dis au vendeur de me préparer l’addition, il me remet mes joujoux dans un sac anonyme, je paye, mais avant de partir, j’entre dans une cabine dans laquelle on peut visionner plein de cassettes pornos, dont des images, très hard, sont plaquées tout autour. Je n’enfile pas de pièce dans la fente de l’appareil, mais j’enfile dans ma mignonne fente ruisselante, les deux boules de geisha. Sans culotte, et dans l’état où je suis, c’est facile, ça glisse tout seul. Tout excitée, je reviens vers la caisse, et tend au vendeur l’emballage vidé de ses boules que je sens gentiment bouger au creux de moi quand je marche. Le regardant bien dans les yeux, j’ai ôté mes lunettes pour l’occasion, je lui dis de ma voix la plus langoureuse : — Ça vous plairait que je passe de l’autre côté du comptoir, et que je me mette à genoux entre vos cuisses pour vous sucer ? Il est ahuri, bouche ouverte mais je ne lui laisse pas le temps de me répondre, je claque des doigts, et lui lance : — Réveille-toi, mec, tu viens de rêver, et je sors aussitôt dans la rue, le cœur battant, hyper excitée, et toute contente de moi. Je marche vite, pressée maintenant de rentrer chez moi pour tirer profit de mes achats. ...
... Les petites boules bougent au creux de moi, ce n’est pas très spectaculaire, mais tout de même, c’est bien agréable, et cela entretient parfaitement mes humides obsessions du moment. De plus, la sensation de marcher sans culotte est divine, surtout quand je croise un mec tout mignon, et qui n’imagine pas ce qu’il perd car, en imagination, et protégée par mes lunettes noires, je lui fais faire avec mon corps des choses qui lui plairaient énormément. Je pénètre dans la bouche du métro, m’engouffre dans une longue rame qui, elle-même, plonge dans un tunnel sombre qu’elle illumine de son passage. L’arrivée à la station, dans la lumière, tandis que le tunnel s’ouvre, devient plus large, m’évoque l’extase amoureuse, l’orgasme. Je ne suis pas cinglée, mais en ce moment, tout me parle de sexe, de pénétration, de jouissance ; même le métro, c’est dire. Je sors du métro à la station La Motte-Piquet Grenelle, encore un nom à consonances érotiques (La motte piquée, greluche) Je n’attends pas l’ascenseur et grimpe à toute vitesse jusqu’au deuxième étage, vers mon deux-pièces (je ne parle pas d’un ensemble de lingerie sexy, mais de mon appartement) De temps en temps, je contracte mon vagin pour être sûre de ne pas perdre mes chères petites boules, car je suis vraiment très mouillée. Cela coule sur mes cuisses de biche en chaleur. Vivement qu’il me prenne, mon beau cerf, en attendant, puisqu’il n’est pas là, je vais le faire cocu avec mes précieux et onéreux gadgets. Sitôt chez moi, je me ...