Une période extraordinaire en trois parties
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
intermast,
Oral
pénétratio,
collection,
BDSM / Fétichisme
... seraient moins violents, il y aurait moins de guerres ou d’agressions. Moi aussi je suis calme, après l’amour. Je suis encore plus belle quand j’ai beaucoup joui, et j’attire les hommes encore plus. Ma peau est après si douce, elle irradie véritablement la beauté et la sensualité. Mes lèvres sont plus pulpeuses que jamais, d’avoir tant été à la fête, et tout mon corps est alors extraordinairement souple, ondoyant. Il est un formidable pôle d’attraction sensuelle, tous mes mouvements sont comme une sorte de danse sensuelle, pourtant absolument naturelle. Je me sens super bien dans ma peau, très confiante en moi. Je me sens alors si merveilleusement belle, avec un éclat, une sorte de magnétisme terriblement troublant. C’est ce que je ressens, mais les hommes, et même mes copines, me l’ont confirmé. Oui, après avoir bien joui, je me sens prodigieusement bien dans ma féminité, tout le monde me sourit et m’admire, est gentil avec moi, et me désire. En plus du plaisir immense, cela n’a que des avantages, de jouir beaucoup. Aujourd’hui, mon amant est loin, à l’autre bout du monde, et j’ai des terribles bouffées de désir. Je m’admire nue, devant le grand miroir qui habille une des portes de mon armoire dans la chambre. Quand nous faisons l’amour, Will aime bien entrouvrir cette porte, et il la cale de telle sorte que nous pouvons nous voir sur le lit pendant nos ébats. J’avoue que j’aime ça, moi aussi. Il a des cuisses et des fesses terriblement musclées, et quand il est sur moi, ...
... et qu’il me baise de toutes ses forces, il est vraiment magnifique, son cul. C’est très érotique et troublant pour moi de voir ses fesses qui se contractent très fort, et très vite pour me l’enfoncer le plus fort possible à grands coups du bassin. En tout cas, moi, j’adore. Mon corps ne fait pas que recevoir ; je me projette d’instinct, en cadence, au-devant de ses coups, j’en augmente encore la force. Mais les divines fesses de Will, je ne peux les voir dans le miroir que par intermittence, car les sensations sont si fortes qu’elles me font souvent, et malgré moi, fermer les yeux, crier, et je ne peux rien faire d’autre que jouir. Emportée par la puissance des sensations, des fois je crie, d’autres fois je pleure ou je rie, je ne sais plus très bien ce que je fais, mais c’est vraiment tellement bon ! Lorsqu’il m’arrive, par la force de mon plaisir, de ne plus pouvoir regarder ses fesses, mes chevilles nouées autour de ses reins en furie, je m’y agrippe instinctivement pour percevoir leur force, les sentir bouger, et l’attirer encore plus au tréfonds de moi, loin, loin dans mon ventre liquéfié, comme si je voulais absorber son sexe tout entier, couilles et fesses comprises. Il m’est arrivé de griffer son derrière, sans m’en rendre compte, mais Will ne m’en veut pas. Je crois bien qu’il est même un peu fier d’avoir de telles marques, qui disent avec éloquence combien il me fait jouir. La brûlure qu’il y ressent lui rappelle aussi en permanence nos ébats et notre plaisir. Quand ...