Tout un accueil
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
fhh,
voisins,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
occasion,
Je suis native de Dolbeau au lac Saint-Jean et je suis venue m’installer à Montréal depuis quelques semaines et c’est tout un changement de paysage. Je me suis trouvé un beau studio dans un petit coin tranquille sur la rue St-Denis. Le jour de mon déménagement, je fis tourner la tête de mes voisins. Ce n’était pas très dur à faire avec mon mètre soixante et mes soixante kilos. Je suis blonde et j’ai les yeux verts, j’ai une poitrine assez généreuse que j’aime mettre en valeur dans les temps chauds. Les deux hommes en question que j’ai fait se retourner devaient faire quinze centimètres de plus que moi et ce devait être deux frères parce qu’ils se ressemblaient beaucoup. Les deux avaient les cheveux noirs ; l’un les portait courts et l’autre les portait longs mais ils avaient le même visage. Le soir même, alors que je m’affairais à défaire ma énième boîte et que j’étais sûre de ne pas en voir la fin, on frappa à ma porte. Je me précipitai pour ouvrir et je tombai sur mes mignons et nouveaux voisins — Salut ! Tu as besoin d’un coup de main ? me demanda celui aux cheveux longs, lui c’est Vincent, moi c’est Marc.— Moi c’est Justine et je vous laisse me donner un coup de main à la condition que je vous offre une bière une fois le travail terminé.— Pas de problème, me répondirent-ils en cœur. Ils entrèrent et nous nous mîmes au travail. Au bout de trois interminables heures, nous avions terminé. Nous nous retrouvâmes tous les trois sur le seul et unique divan du salon à siroter une ...
... bière bien froide. Je me retrouvai donc entre eux, une situation qui étrangement ne m’embarrassait guère ou était-ce les vapeurs d’alcool qui m’étaient montées à la tête ? — Alors Justine, tu viens de Dolbeau ? me demanda Marc.— Oui, je suis venue étudier à Montréal afin d’être plus indépendante. Et vous, ça fait longtemps que vous vivez ici ?— Oui, Marc et moi sommes jumeaux et on est parti de chez nous depuis l’âge de seize ans. On a fait quelques foyers d’accueil et le jour de nos dix-huit ans, on s’est retrouvé ici.— Pourquoi êtes-vous partis de chez vos parents ? ne pus-je m’empêcher de demander.— Ils se droguaient tous les deux, expliqua Marc, et ensuite ils nous battaient à tour de rôle puis ils nous forçaient à rester debout toute la nuit. Pour me donner une contenance, je me levai et allai au frigo pour rapporter trois autres bières. À mi-chemin, j’eus un coup de chaleur. Je déposai les bouteilles et retirai ma veste. Une fois de retour dans le salon, je repris ma place, me laissant choir à moitié consciente du spectacle que je devais sans doute être en train de leur offrir avec mon chemisier qui ne devait pas cacher grand-chose de mon anatomie. Les deux frères se consultèrent du regard et Vincent prit la parole : — C’est moi, ou il fait chaud ici ? Joignant le geste à la parole, il retira son chandail, imité par son frère. Je remarquai que ce nouveau petit jeu ne les laissait pas indifférents si j’en jugeai par les bosses qui déformaient leurs pantalons respectifs. ...