Mathilde : la rencontre
Datte: 23/11/2019,
Catégories:
f,
fépilée,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
... Progressivement, j’accélère le mouvement. Sa forte respiration laisse la place à des petits cris d’excitation. J’essaie de l’embrasser, mais elle refuse. Mathilde tourne la tête par refus. Impossible pour elle de faire autre chose, sa bouche doit rester ouverte pour mieux respirer. Maintenant, ses cris sont de plus en plus importants. Dans un pincement un peu plus fort, Mathilde sursaute et pousse un cri. Tout à coup, elle pousse des gémissements clairs et nets d’une forte intensité. Je sens son corps vaciller. Sentant que ses jambes risquent de flancher, je place mon autre main derrière elle entre ses deux fesses, pour éviter qu’elle ne tombe. Subitement, son corps se met à trembler. Elle pousse un cri assez fort et finit par avoir un orgasme très intense. Je recule ma tête pour regarder son visage. Elle a les yeux fermés et la bouche entrouverte. Je peux voir sur son front et sur ses joues écarlates des gouttes de sueur. En retirant ma main de son string, je constate qu’il est complètement trempé. La puissance de son orgasme a été si importante que le long de ses cuisses coulent ses sécrétions. Je m’approche et lui fais un petit baiser. Je sens qu’elle est gênée et essaie de se détourner de mon regard. − Que se passe-t-il ? Tu as l’air gêné ? − C’est la première fois que cela m’arrive, enfin de cette façon. − Et… − Je crois que j’ai rarement eu autant de plaisir, tu m’as rendue folle, je suis dans un de ces états. − Je voulais absolument te faire plaisir… − C’est ...
... largement réussi, mais tu… enfin toi… tu es toujours autant excité, dit-elle en touchant mon membre. − Ne t’inquiète pas, la soirée n’est pas finie, d’autres choses peuvent se passer… − Oui, tu as raison, attends, je reviens, je vais m’arranger un peu et passer un peignoir. − Non, je veux que tu restes comme tu es. − Tu es vraiment sûr ? Je suis… − Oui, reste comme tu es. − Allez, viens me rejoindre dans le salon, me dit-elle. − Oui, j’arrive. Je m’assois au bord du canapé. Mathilde s’agenouille face à moi, attrape ma chemise, et défait les boutons un à un. Une fois terminé, elle la retire d’un geste brusque. Son regard n’est plus le même, elle me fixe et passe sa langue entre ses lèvres. − Maintenant, c’est à mon tour de m’occuper de toi, pour commencer, je vais voir si la bosse est toujours là. Elle pose sa main sur mon membre et l’inspecte minutieusement. Elle le parcourt soigneusement avec ses doigts. Dans un mouvement de bassin, je lui fais signe qu’il serait bien qu’elle défasse mon pantalon. Mathilde lève la tête et plonge et s’arrête. Elle semble ne plus vouloir continuer. − Ne sois pas si pressé, je sais que tu as très envie, mais laisse-moi faire, soit patient et tu le regretteras pas. Elle défait ma ceinture, enlève le bouton du pantalon, baisse ma braguette. Elle attrape mon pantalon et va pour le retirer, mais impossible sans que je me lève. Alors, elle me fait signe de me mettre debout. Dans un geste brutal, elle le retire. Dans son mouvement, elle a aussi attrapé mon ...