Chaude comme la braise
Datte: 24/11/2019,
Catégories:
f,
ff,
vacances,
telnet,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
intermast,
rasage,
Oral
69,
fgode,
légumes,
fdanus,
jeu,
piquepince,
... Branle-moi bien,— Oui, tu vas voir comme c’est bon, mais la carotte est un peu petite non ? Je crois qu’elle n’est pas faite pour ta chatte. Et je lui léchais doucement l’anus, salivant dessus.— Oh, attention, pas trop fort s’il te plaît ?— Ne t’inquiète pas, je serai douce et appuyant la carotte luisante de mouille sur sa rondelle.— Mmmmmmh…— Détends-toi. Et j’enfonçais la carotte dans son petit cul tout blanc. Elle avait l’air d’aimer ça, je la faisais aller et venir doucement. Puis je la laissais sur la table, le cul à l’air avec une carotte plantée dedans.— Où vas-tu ? Reste !— Je reviens ne bouge pas. Et je partis chercher un nouvel instrument que j’avais acheté pour me satisfaire mais qui donnerait du plaisir à Anne. Je revenais bien vite avec une belle lampe de poche que je tendis à Anne, lui recommandant de bien la lécher. Elle était de taille moyenne et paraissait avoir été conçue pour ça— Mmmmh, regarde moi, tu aimes me voir comme ça ? Et elle emboucha la lampe, jouant avec sa langue.— Oui, tu es belle, je t’aime quand tu es cochonne, vas-y je te regarde. Et je la regardais lécher puis enfoncer la lampe en elle. La carotte ne tarda pas à être expulsé de son anus et je la ramassais puis me mettant devant Anne, je ...
... la mis en bouche, la suçant comme un sexe.— Viens partager égoïste ! Et elle se redressa pour lécher la carotte aussi et m’embrasser. Puis la lampe toujours au fond de sa chatte elle s’allongea et se mit à masser ses seins, pinçant ses tétons.— Attends, laisse-moi m’en occuper ! Et j’embouchais ses tétons, les mordillais, je les faisais roule entre mes doigts. Elle était complètement dingue de ça.— Mets-moi tes pinces ?— Que quoi, quelles pinces ?— Tes pinces, je les ai vues, mets-les moi s’il te plaît.— Je vais les chercher. Je n’en revenais pas, elle était pire que moi, je la retrouvais en train de se tirer sur les mamelons. Et la prévins que c’était douloureux.— Vas-y doucement mais mets-les moi. N’aie pas peur !— C’est toi qui me rassures… Et je plaçais les pinces sur ses tétons mais sans serrer trop fort. Elle cria, mais pas seulement de douleur.— Branle-moi ! Et je faisais des allers-retours avec la lampe pendant qu’elle touchait ses seins, les pressant l’un contre l’autre, triturant les pinces. Anne était devenue dingue, elle n’avait plus aucune retenue et inonda la table de mouille. Elle avait les larmes aux yeux et je l’embrassais tendrement. Alors que je faisais mine d’enlever les pinces, elle arrêta mon geste.