Consolation
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Elle arrive en pleur, mon amie Nicole. Nous nous connaissons depuis l'enfance, même quartier, même école. Nous nous suivons partout. Elle est choquée: son mari la trompe avec une fille bien plus jeune, sans doute même mineure. Nous sommes assises sur le canapé. Elle pose sa tête sur mon épaule. J'essaie de la consoler comment faire quand on ne connaît pas soit même une telle situation, un mari aimant et une vie heureuse. Je la laisse pleurer sur moi. Au bon d'un moment je dois prendre une décision: ou la secouer, ou la câliner ? Je la câline tout simplement: je lui caresse les cheveux, le visage. Elle continue à remuer son chagrin. Je l'embrasse sur les joues. Sans le faire exprès, mes lèvres dévient un peu sur sa bouche. Elle tourne la tête: nos lèvres sont ensembles. Je ne sais pourquoi, ni comment ma langue va dans sa bouche. Je ne sais pas non plus pourquoi elle m'accepte. Pourquoi nous restons ainsi enlacée alors que non n'avons jamais eu de tel rapport. Pour nous le sexe était une chose normale: quand nous étions jeunes nous en parlions souvent, surtout de nos petits copains et enfin de nos amoureux plus intimes, même de notre dépucelage. Là nous sommes dans une situation inédite. Je suis surprise de l'effet que me fait ce baiser. Je suis excitée. Je me demande comment elle est, elle. Nos lèvres se séparent enfin. Nous nous regardons avec des yeux presque amoureux. Elle ne pleure plus, elle me sourit. Je le lui rends. Nos lèvres à nouveaux viennent se souder. Nos ...
... langues se caressent sans fin. Nous nous étreignons plus fort. Elle pose sa main sur mon genou. Elle monte vers mon sexe. Je la laisse faire, fermant le yeux, déjà consentante pour la suite. Je pose une main sur un de ses seins que je caresse. Sa main arrive sur ma culotte toute mouillée. Elle cherche à me caresser: elle arrive sur mon clitoris Elle me branle: mon plaisir est décuplé. C'est la première main féminine qui me branle. C'est drôlement agréable, excitant. Je jouis rapidement. A mon tour je lui passe ma main entre ses cuisses en montant vers son paradis. J'arrive à lui trouver le bouton. Je la branle comme je le fais pour moi, avec deux doigts. Elle se crispe juste au moment de son orgasme. Nous nous regardons à nouveau tendrement, comme des amantes. Nos désirs et envies sont plus forts que ce que la morale approuve: je lui enlève son t-shirt, dégrafe son soutien gorge. Quand je le lui enlève, mes lèvres vont sur les tétons. Je les embrasse, les suce, recommence encore. Elle caresse ma tête, comme une approbation. Elle aussi enlève mon chemisier, le soutien gorge et me caresse avec une grande tendresse. Être torse nu ne nous suffit plus: nous nous déshabillons complètement. Cette fois nous pouvons caresser tout le corps de l'autre. Nous restons debout, poitrine contre seins, mes mains sur ses hanches, les siennes autour de mes fesses. Nos baisers deviennent de plus en plus profonds. Nous sommes excitées au maximum. Nous sommes face à face, les mains sur le sexe de ...