1. L’étudiante timide et rusée.


    Datte: 25/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mini-jupe d’écolière toujours en tissu écossais rouge. Elle portait également un haut blanc à manche courte qui descendait pas plus bas que ses seins, magnifiquement enfermé dans ce haut par un nœud qui tenait ce petit bout de tissu. Ces jambes étaient gainées de bas blanc, laissant apparaitre sa peau entre le haut des bas et sa jupe si courte. Enfin elle portait des hauts talons rouges. J’étais paralysé, impressionné, envouté, excité, apeuré, subjugué et j’en passe. Je ne savais pas quoi dire, je restais là à la regarder. Elle vint se rasseoir sur la chaise en face de moi, sa mini-jupe étant si courte je vis quelle ne portait pas de culotte, c’était une petite chatte toute lisse, rasé. Elle se rendit compte que j’avais vu que son sexe était nu et surement par réflexe de timidité elle croisa les jambes, rougissant de plus belle. - Ça ne vous plait pas ? Vous ne dites rien. La main tirant sur la jupe essayant dans cacher un maximum car elle pensait que ça ne me plaisait pas. - Ecoutes euh… comment dire… en fait je suis très surpris, très flatter et un peu sous le choc. Mais oui ça me plait. Ça peut que me plaire tu es très jolie et sexy comme ça. Raclant ma gorge. A nouveau un sourire s’installa sur son visage. Elle était assisse attendant je ne sais quoi de ma part (ou plutôt si je me doutais quand même), moi en face d’elle intrigué, un moment de silence qui me parut très long s’installa. - Je crois voir ou tu veux en venir Rebecca, mais je suis ton professeur et tu es ...
    ... plus jeune que moi. - Je sais mais vous me plaisez beaucoup, je sais que vous êtes divorcé et il a fallu un peu de temps avant que j’ose… enfin vous voyez. - D’accord tu m’avoue tes sentiments pour moi, mais pourquoi cette tenue ? - Je pense que si j’étais restée en jean et en pull, vous auriez pu vous défilez plus facilement, être moins intéressé, voir me rejeter. Alors que là je prends un ascendant psychologique, en me montrant très sexy et désirable, en vous donnant envie de moi. - J’avais oublié que tu étais très intelligente, mais qui te dit que je vais succomber, je ne peux pas, ce n’est pas correct ce que tu me propose. Elle se leva et vint s’asseoir sur moi, ses fesses sur mes cuisses, prisonnier entre ses jambes. Je sentais son petit cul nu sur moi, sa chatte frottant légèrement mon sexe à travers mon pantalon. Cela faisait un an que je n’avais pas eu de rapport avec une femme et il ne fallut pas longtemps à mon sexe pour se dresser légèrement à l’étroit dans mon caleçon. - Maintenant que je suis assise là vous n’avez plus le choix. Je l’avais le choix, je pouvais me lever et lui demander de partir. Mais non, son corps, son parfum, sa fraicheur, tout m’ordonner de rester là. Et qui n’aurait pas succombé ? Excité je pris ses joues entre mes mains et l’embrassa passionnément, nos langues se mêlèrent, nos lèvres se mangeait l’un l’autre. Je glissai mes mains sur ses hanches ou sa peau était nue, chaude et si douce. Mes baisers descendirent dans son cou, mes mains sur ses ...