1. 4 voyeurs, ma femme et moi


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe

    ... un type trapu, très poilu, d'environ quarante ans, acquiescèrent en se marrant. Nous le suivîmes donc, lui devant Cécile, pas fière du tout et silencieuse mais cul nu sous sa très courte jupe qui dansait, moi et les autres derrière qui lui admiraient les fesses en riant. C'est en arrivant que ma femme commença à paniquer. Elle me rejoignit et voulut que nous nous en allions mais le type lui prit la main et la fit monter le petit escalier qui menait à son logement devant lui. Tout ce petit monde suivait en ayant une vue directe sur les fesses découvertes de Cécile et nous bandions tous à la perspective de ce qui devait se passer, moi aussi. ?a n'a pas traîné et j'ai du calmer les ardeurs des mecs pour éviter qu'ils se jettent tous sur elle dès la porte franchie. Je n'arrivais pas à m'imaginer que tout cela était vrai, que nous avions suivi ces hommes et que ma femme allait vraiment se faire prendre par ces inconnus, je réalisais un fantasme mais j'étais inquiet pour elle, elle semblait paniquer. C'est le propriétaire de l'appartement qui la baisa le premier, le premier homme autre que moi. Puis ce fut une orgie totale, invraisemblable, insensée, une sorte de viol collectif consenti auquel j'ai participé. Elle fut ' comblée ' au-delà de l'imaginable et elle a joui comme jamais elle n'avait joui. Je l'ai vue se tordre de plaisir sur des sexes qui violaient ses trois orifices à la fois et je l'ai entendue hurler ses jouissances remplie de sperme qui dégoulinait de partout. Ma ...
    ... femme ! Je n'en revenais pas que se fut elle. C'est donc le grand costaud, le 1 (je nommerai les deux jeunes par les n? 2 et 3 et celui de quarante ans par le n? 4) qui la mena jusqu'à sa chambre en la tirant par la main. Elle voulait s'en aller et me demanda de leur dire qu'elle ne voulait plus, qu'elle avait voulu s'amuser, que c'était un jeu, c'est tout Ils pouvaient la regarder et même la toucher mais pas plus, ils pouvaient se masturber sur elle s'ils le voulaient mais pas plus. Personne ne l'écoutait. Le 1 la culbuta sur le lit, la troussa jusqu'à la taille en découvrant ses cuisses et sa vulve à peine ombrée de fins poils blonds et lui dénuda la poitrine. Il marmonna qu'il ne pouvait plus tenir, qu'il fallait qu'il la baise. Tous la contemplèrent, là, étendue, cuisses ouvertes, seins à l'air et les quatre hommes commencèrent à la caresser, ils lui pelotèrent, les cuisses, les seins, les fesses. Des doigts s'insinuèrent dans les moindres recoins. Dans sa chatte, dans son anus et ils se débarrassèrent de leur pantalon libérant des verges déjà érigées. Je découvris que le 1 était membré comme un âne et que le 4, le quadragénaire trapu, avait une pine plus courte mais incroyablement épaisse. Je n'en croyais pas mes yeux de voir mon épouse ainsi offerte à la convoitise si évidente de ces types. Elle les regardait effarée entourée par tout ces sexes dressés, palpée par toutes ces mains. Elle me dit :- ' ils vont me baiser Claude, mais qu'est-ce que tu me fais faire !? Ils vont ...
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