1. Ma femme et le puceau


    Datte: 26/11/2019, Catégories: h, fh, jeunes, cocus, inconnu, Collègues / Travail sales, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, pied, Oral fist,

    ... tissu de la robe… Elle était plaquée à son mont de Vénus, dessinant avec une précision implacable le renflement du bas-ventre ainsi que le creux au milieu de celui-ci. J’avais moi aussi une fascination absolue pour son sous-vêtement. J’ai enfoui ma tête sous sa robe. Le tissu de la lingerie était saturé de ses odeurs. Je compris à cet instant pourquoi le stagiaire avait disjoncté. Je n’ai pu résister à l’envie de la lui retirer, la faisant descendre le long de ses jambes jusqu’à ses escarpins noirs. Je l’ai portée à mes narines sous les yeux moqueurs de Claire. Je n’avais jamais encore senti quelque chose d’aussi fort. Elle se pencha pour poser sa coupe sur la table basse, son regard sur moi, sondant ma réaction. D’un geste sensuel, elle retroussa sa jupe au-dessus de sa taille, exhibant son con. Lâchant la culotte, je rampai jusqu’à elle. La vulve parut s’épanouir, prendre vie. Le clitoris se déplia doucement. Je contemplai longtemps sans la toucher, puis me penchai et l’ouvris complètement, fouillant dans les replis jusqu’à trouver l’entrée collée du vagin. Je ne pouvais pas croire que ce même jour un sexe d’homme s’était enfoncé là, avait dégorgé son foutre épais. J’essayais d’imaginer les chairs qui s’étaient écartées sous l’intrusion du pénis du jeune stagiaire. Mais c’était impossible. J’aurais voulu des marques, mais il n’y en avait pas. — Cochon ! Tu dois être content ? me lança Claire ; tu as eu ce que tu désirais… Elle reprit sa coupe de champagne. Sans répondre, ...
    ... je posai mes mains sur l’intérieur de ses cuisses, les écartant au maximum. Des lèvres et de ma langue, je fouillai son fruit juteux, tel un explorateur du plaisir à la recherche des pétales nacrés et pas moins parfumés. Je lapai le mélange de sécrétions et sperme qui s’écoulait. Un épais ruban de ce cocktail pendait sous mon menton. Je glissai mes deux mains sous ses fesses pour mieux attirer vers ma bouche le plat de roi que j’étais en train de déguster. Bientôt, le manège conjugué de ma langue et de mes lèvres eut raison. Elle se tortillait sur mon visage. Des sursauts secouèrent son bassin et elle jouit. L’orgasme lui arracha des cris étranglés. Une tempête de plaisir l’envahit, l’emportant, avant de la laisser retomber. Ma verge était plaquée contre mon ventre, toute chaude et surtout très lourde. Je la dégageai, la fis glisser hors de ma braguette. Je n’avais pas l’intention de la baiser tout de suite ; je désirais me branler d’abord en la tripotant. Je baignais dans ses odeurs. J’entendais sa respiration saccadée au-dessus de moi. Elle cuvait son orgasme. Son souffle chaud me tombait sur la nuque. M’allongeant à moitié, je me mis à me branler à même le sol. À lents coups de cul. En même temps, j’enfonçais les doigts de ma main droite à l’intérieur de son con. J’y collai trois doigts à la fois. Comme elle s’écartait de plus en plus, j’y allai carrément : tous les doigts plus le pouce. Je les enfonçais de plus en plus loin. J’appuyai bien au fond tout en la branlant du ...