De compagnon à cocu soumis (2)
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... et lâcher tout son jus en elle, Alexandra eut un orgasme au même moment. Il se retira assez rapidement pour aller dans la salle de bain. Alexandra releva la tête vers moi : "Si seulement tu m’avais baisé comme ça une fois dans ta vie, tu ne peux pas savoir comment t’es un mauvais coup. Je voulais te montrer comment je pouvais être quand un vrai mâle s’occupait de moi. J’espère que tu en as profité parce que là tout le week-end. Mais bon pour te laisser te remettre de tes émotions, je vais te laisser dormir comme ça on commencera demain matin." J’ai dû passer la nuit attaché à la chaise, nu. Eux dormant en face de moi, dans ce qui était avant mon lit, enlacés. La nuit fut courte tant la position était inconfortable. fdfoohk Le matin, Kader se leva tôt, il devait aider un déménagement d’un de ses amis de ce que j’avais pu entendre de leurs conversations. Il se leva et partit sans même me prêter attention. Alexandra continua à dormir quelques heures. Puis elle se leva et se dirigea vers moi : "Bien bien j’espère que t’as bien dormi parce que c’est parti pour ta nouvelle vie aujourd’hui. Alors pour te faire une première liste de tes consignes à respecter. Dorénavant dès que tu franchis la porte de cet appartement tu es nu, un collier de chienne autour du cou et tu ne te déplaces ...
... qu’à quatre pattes. Tu seras debout pour faire les tâches ménagères bien sûr et travesti assez souvent ne t’en fais pas. Tu ne parles que si l’on te l’autorise, on décide de quand tu manges, tu bois, où faire tes besoins. Tu n’as plus de nom, on te sifflera ou l’on t’appellera par des noms qui te caractérisent, vraiment comme chienne, pute, salope enfin tu comprends quoi. Bien sûr tu devras obéir aux invités que nous ramènerons comme tu nous obéiras. Tu dormiras dans un tapis pour chien dans le salon. Le reste tu le découvriras au fur et à mesure. C’est bon t’as tout compris ?" Je ne répondis pas imaginant honteusement toutes ses paroles avec plaisir. La sanction ne se fit pas attendre, elle me gifla violemment, m’attrapa par le menton et repris d’un ton ferme : "J’ai pas entendu sale pute, t’as bien compris à quoi tu servais maintenant ?" Je faisais signe que oui avec ma tête. Ce qui me vaut une caresse derrière la tête comme à un bon chien. "C’est bien ça, tu vois tu comprends vite." Elle me détacha, je me mis alors immédiatement à quatre pattes, elle m’enfila un collier de chienne. Y attacha une laisse. Je me vis ainsi dans le miroir. Cette vision qui aurait dû me répugner ou me révolter ne laissa finalement place qu’à de l’excitation et l’impatience quant à ce qui m’attendait...