1. Une énarque se décoince


    Datte: 28/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... le sommeil, une agitation dans la chambre voisine l'alerta. Le lit de son couple d'hôtes grinçait. Charlotte colla l'oreille à la mince cloison. Aucun doute : ses hôtes faisaient l'amour. Bruyamment. Elle reconnut aisément la voix de Manuella : - Prends-moi par derrière ! Oui, comme ça, plus fort, plus vite ! Caresse-moi les seins ! Mon petit trou aussi ! Mmmh, c'est bon ! T'arrête pas surtout ! La tête en feu et la bouche sèche, Charlotte se retira du mur et fourra sa tête sous l'oreiller. Mais quelques secondes seulement. C'était plus fort qu'elle : les ébats de ses hôtes l'attiraient comme un aimant. Tous deux étaient des experts de l'amour alors qu'elle péchait par ignorance. Elle en avait bien conscience maintenant. Elle ressentit soudain une forte envie d'uriner, peut-être sous l'effet de l'excitation auditive. Elle gagna les toilettes à pas feutrés. Au retour, passant devant la chambre voisine de la sienne, elle s'aperçut que la porte n'était pas fermée, à peine entrouverte, suffisamment pour qu'un regard puisse se glisser dans l'interstice. Celui-ci donnait directement sur le lit. Et encore plus directement sur les fesses nues de Delphin, encadré par les cuisses charnues de Manuella, tous deux en travers du lit. Fascinée, Charlotte fixait le cul du Martiniquais dont la souplesse l'époustoufla. Ses mouvements de hanches évoquait une sorte de grand huit qui générait dans le ventre de Manuella un plaisir intense à entendre les pâmoisons et les commentaires de la ...
    ... plantureuse blonde : - Oh oui ! Oh oui ! Tu me fouilles bien ! Tu es dur ! Continue ! Continue ! Charlotte regardait les ongles carmins de sa secrétaire griffer les fesses noires de son mari-amant et même glisser un doigt fureteur dans son anus grand ouvert. Après l'avoir longuement besognée, Delphin se retira de Manuella et exhiba à la vue de Charlotte un pénis recourbé d'une longueur qu'elle jugea bestiale. Manuella se redressa, palpitante, ébouriffée, en sueur, nullement rassasiée à la manière dont elle se saisit du pénis de Delphin. Elle l'astiqua pour maintenir son érection et obligea son mari à s'asseoir au bord du lit. Alors, dos à lui, elle s'empala lentement, jambes fléchies et se mit à faire valser son ample croupe, face à la porte derrière laquelle Charlotte se dissimulait sans perdre une miette du spectacle. Un "floc" sonore marquait chaque contact entre le fessier de Manuella et le bas-ventre de Delphin, lequel avait passé les bras sous ceux de sa femme pour lui pétrir ses seins lourds et freiner en même temps leur balancement. Une telle harmonie se dégageait de cet accouplement que Charlotte pensa à une sorte de danse, rythmée par les halètements, les onomatopées, les exclamations et même les mots crus émanant du couple. Charlotte ne se rendait même pas compte qu'elle avait glissé sa main dans son pantalon de pyjama pour se caresser le clitoris. Et qu'elle avait même oublié toute prudence au point se s'approcher tout près de l'interstice, si bien que Manuella l'aperçut ...
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