Une première expérience entre femme
Datte: 28/11/2019,
Catégories:
Lesbienne
Première fois
... troublée ? me dit-elle en m’observant attentivement. Qu’étais-tu en train de lire ?Elle se pencha sur l’écran et, son tee-shirt étant très ample en plus d’être long, je pus voir que sa poitrine n’était pas prisonnière d’un soutien-gorge. Entre mes cuisses, je sentais parfaitement s’installer une forte humidité ; ma gorge se noua brutalement et mon désir monta en flèche. Pour la première fois, je sortais de mon fantasme, pour désirer ardemment une personne physique, ma collègue de travail. Mon esprit s’emballa et, presque comme dans un rêve, je posai une main sur son genou. Son regard se planta aussitôt dans le mien ; elle n’avait pas sursauté, n’avait pas esquissé le plus petit mouvement de recul, se contentant simplement de me regarder, les yeux brillants.Interprétant ses signes comme étant une forme d’approbation, je fis remonter ma main vers l’intérieur de sa cuisse, me surprenant d’être capable d’une telle hardiesse. Je n’osais dire un mot, de peur de rompre cet instant magique et, avec une certaine lenteur, j’approchais mon visage du sien. Mon cœur se mit à battre si fort, que j’eus l’impression que l’on pouvait l’entendre résonner dans toute la pièce ; il me sembla éclater en un splendide feu d’artifice, lorsque mes lèvres goûtèrent aux siennes. A peine nos langues se rencontrèrent-elles, que je me sentis partir dans un monde de délices enivrants ; c’était le premier baiser que j’échangeais avec une femme et, tout aussi surprenant cela puisse être, je le trouvai ...
... plus doux, plus suave, plus sensuel que tous ceux que j’avais connu, avec des hommes, jusqu’à présent.Aline se leva brusquement et j’eus peur, un bref instant, qu’elle ne se ressaisisse, qu’elle ne me repousse, qu’elle me dise qu’elle avait succombé à un moment d’égarement, qu’elle ne mangeait pas de ce pain-là. Au lieu de cela, elle enleva son tee-shirt et m’offrit la vue de sa nudité dans toute sa splendeur ; seule son intimité restait voilée par un tanga noir en fine dentelle. Elle s’approcha de moi, posa ses mains autour de ma tête et livra son corps, sentant la lavande, à mes baisers. Elle frissonna au contact de mes lèvres, soupira sous la douceur de mon souffle ; ses mains me caressaient tendrement les cheveux. Je quittai mon siège pour m’agenouiller devant elle. Je fis courir la pointe de ma langue sur ses cuisses, l’une après l’autre, et arrivai au niveau du tanga. C’est alors qu’elle me fit me relever ; son regard était aussi troublé par le désir que devait l’être le mien. Avec des gestes d’une infinie douceur, elle dégrafa mon chemisier, fit sauter la bretelle de mon soutien-gorge et fit se dresser mes tétons de la pointe de sa langue. Lentement, ses lèvres glissèrent plus bas, s’arrêtèrent sur mon nombril. Elle fit déboutonna ma jupe qui tomba très vite à mes chevilles ; se visage se plaqua contre mon string.– Tu sens bon, me dit-elle.mon tour, je me mis à genoux ; à nouveau, nos lèvres se scellèrent. Ce baiser fut bien plus fougueux que le premier, encore plus ...