Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune - Histoires de Sexe

Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune

... faire plaisir, mais pas au point de ne pouvoir m’asseoir qu’avec difficulté.— Je serai très doux, je te le promets ! Regarde comme je t’aime ! Il exhibait fièrement son membre dressé. Pourquoi l’orgueil des hommes se loge-t-il dans un morceau de chair gonflé de sang ? Blanche commençait à en avoir assez et se disait que s’il s’agissait de se faire foutre à longueur de journée, elle aurait pu être putain plutôt que servante, l’activité étant réputée plus rémunératrice. Le jeune homme insistait : — Tu pourrais au moins le prendre dans ta bouche…— Je viens de passer un temps infini le nez planté entre les cuisses de la duchesse de Montpresiat et je désire maintenant profiter de mon air à loisir.— Alors laisse-moi me caresser en regardant tes trésors. Tu n’auras rien à faire, je ne te toucherai même pas. Penche-toi en avant, écarte les fesses et offre-moi d’admirer ce que la nature t’a offert. Tu ne peux pas me refuser ça ! La demande était raisonnable, et malgré sa lassitude la jeune fille ne vit pas de raison logique de la réfuter. Blanche reposa donc son buste sur une commode et tint à deux mains son derrière bien dégagé. Un pas en retrait, Bethold secouait énergiquement son vit, le regard fixe et vitreux. C’est dans cette position que le roi Loric les trouva. Le monarque eut un sourire amusé. — Continuez mes enfants ! Faites comme si je n’étais pas là !— Oh sire… je…— Continuez, vous dis-je ! Sa voix avait pris l’inflexion autoritaire qui sied à tout homme de gouvernement. ...

... Blanche et Bethold n’osaient plus bouger, pétrifiés. — Eh bien ! Qu’attends-tu pour te branler mon garçon ? Le fessier de cette jeune femme n’est-il point à ton goût ? Un abricot fendu délicatement juteux, recouvert d’une fine et discrète toison, un petit trou nacré qui, visiblement, a hébergé quelque passant il y a encore peu, n’est-ce point un spectacle auquel tu es sensible ?— Si, sire, mais… Le regard du monarque était implacable. Bethold n’avait aucune échappatoire. Il recommença à faire coulisser sa main, mais tout enthousiasme avait fui. Il fixait l’entrejambe de Blanche mais ne pouvait ignorer la royale présence. Sa bandaison se faisait moins assurée. En moins d’une minute, il tirait piteusement sur un bout de peau flasque. — Hors d’ici, bon à rien ! Quant à toi, jeune fille, ne bouge pas. Ta position est parfaite. Il ne sera pas dit que tu auras relevé tes jupes inutilement. C’est le sacrifice d’un souverain que de suppléer à l’incompétence de ses sujets. Lourde charge, mon enfant, lourde charge. Loric s’avança et sortit son membre illustre. Un pieu colossal que les années n’avaient jamais amolli, droit et veineux, le gland épais et déjeté. Une légende prétendait que le roi, plus jeune, avait voulu le planter dans un rocher et que le rocher s’était fendu. Les rois ont souvent des histoires avec les rochers. Blanche n’osait bouger ni regarder son souverain. Et ce fut une bonne chose : elle aurait sans doute défailli à la vue du majestueux attribut. — Il faut tout faire ...