Deux paires de deux - Histoires de Sexe

Deux paires de deux

... courte. Il vient ensuite vers moi : — Pas de problème, votre petit ami est totalement KO. Il a descendu toute une bouteille de whisky à lui tout seul. Il dort comme un nouveau-né. Il ne se pointera pas inopinément chez vous cette nuit !— Il a bu toute une bouteille ! ? Il est où ?— Chez Louis, sur son canapé. Ah au fait, vous avez les salutations de Louis !— C’est vrai, ce mensonge ?— Lequel ?— Laissez tomber ! Il ne répond rien, se contentant de me regarder. Je ne saurais dire exactement pourquoi, mais j’aime sa façon de me regarder, elle est… différente. Je ne me sens pas scrutée ni salie. C’est lui qui casse le silence : — Floriane, puis-je permettre une petite privauté ?— C’est-à-dire ?— Depuis tout à l’heure, vous mettez sous mon nez un décolleté d’enfer…— Ça vous déplaît ?— Pas de tout, pas du tout… mais j’aimerais pouvoir déposer un baiser entre vos seins, et aussi un autre à la naissance de ceux-ci…— Uniquement que ça ?— Uniquement que ça. Je le regarde pour savoir si je dois le croire. Je ne sais plus quoi penser avec Sylvain, il fausse ma façon de raisonner. Je m’entends lui répondre : — Je pense que je peux vous faire confiance…— Merci, donc je peux ?— Allez-y… Il s’approche de moi, se penche sur mon décolleté puis dépose un baiser entre mes seins. Ça me procure un grand frisson qui n’est pas désagréable ! Puis il me contourne un peu afin d’être face à la naissance de mon sein droit. Après l’avoir admiré, il l’embrasse à son tour, me procurant un autre frisson ...

... tout aussi agréable ! À ma grande surprise, il me contourne à nouveau, allant se poster près de mon autre sein. Il précise : — Vous avez deux seins, Floriane…— Vous êtes un profiteur ! Pour lui faciliter la tâche, je mets mon bras gauche dans mon dos. Se contorsionnant un peu, il dépose alors un doux baiser bien appuyé sous la masse tendre de mon sein qu’il soulève un peu. Un énorme frisson s’empare de moi. C’est alors que je réalise qu’avec cette position, j’ai révélé beaucoup de chair que je ne le pensais ! — Fini, Floriane !— Ah… euh… oui… Il s’écarte de moi. En effet, il n’a rien tenté de plus. Je me sens un peu gauche, un certain silence s’installe. Claquant dans ses mains, il annonce : — Bon, ce n’est pas tout ça, mais il est l’heure d’aller dormir !— Comment ça ?— Auriez-vous déjà oublié que je vous ai gagnée pour tout un week-end ? Ah oui, autant le dire tout de suite, j’ai très peu de prédispositions pour dormir comme ça, par terre ou dans un canapé.— Dans ce cas, c’est moi qui… Il me coupe aussitôt la parole, faisant un geste de dénégation : — Non, non, non ! Pas question de laisser une gente demoiselle dormir par terre ou ailleurs que dans son lit !— Ah oui ? On fait comment alors ?— Très simple : on dort dans le même lit.— On dort ? Que dormir ?— Je n’ai jamais violé la moindre femme, ni forcé l’une d’elles.— C’est ce que vous dites !— C’est très facile à démontrer ! Et il s’engouffre dans ma chambre tout en me lançant : — Je vous laisse la salle de bain ! Un peu ...