Mon histoire (2)
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
Première fois
... il ne m’a pas demandé si il pouvait éjaculer dans ma bouche mais ça ne me souciait pas, à vrai dire j’avais envie qu’il finisse, et de rentrer chez. Il a poussé un long grognement « ah je viens salope ! » mais plutôt qu’inonder ma bouche il est sorti et a aspergé mon visage. Prise au dépourvu, j’ai reçu ses giclées de sperme sur la bouche, les joues, le front et les cheveux en fermant les yeux pendant qu’il râlait de plaisir. C’était chaud, doux et le sperme dégoulinant de mon front jusqu’au menton me faisait une caresse très sensuelle. Mais après quelques instant, le sperme a refroidit, l’odeur forte s’est imposée, et je me suis sentie vraiment humiliée, honteuse, souillée. Après un moment, j’ouvrais délicatement les yeux. Lui allongé à coté de moi fumait l’air satisfait. Je lui demandais la salle de bain. Dans la glace, je me suis vue dégoulinante du sperme d’un presque inconnu, mon rimel coulait avec les trainées blanches gluantes. Je me débarbouillais, essuyais la semence dans mes cheveux, et me rinçais la bouche. Je ne voulais évidemment pas passer la nuit chez ce type, je me rhabillais, remettant ma culotte sur ma chatte encore gluante. J’allais dans la chambre pour lui dire au revoir. Il me lança un bref salut sans même me raccompagner. Pas très romantique je me disais dans le métro mais tu as eu ce que tu as voulu… J’ai pensé qu’il avait bien raison de me traiter de salope parce que je me sentais vicieuse. Bref rentrée chez moi je me blottissais dans un bain chaud ...
... puis dans mon lit. A ce stade du récit mon mari avait déjà joui sur ma cuisse au moment où Fabrice éjaculait sur mon visage. Comme tous les soirs maintenant j’étais très excitée et me faisait jouir avec mes doigts pour le plus grand plaisir de mon mari. Il me demandais si je l’avais revu. Oui, toujours chez la même copine. . Il m’a dévisagée toute la soirée, complice. J’ai senti qu’il avait de nouveau très envie de me sauter. Il m’avait proposée de me raccompagner mais je déclinais l’invitation. Je rentrais seule, mais enfin au lit je me faisait jouir comme une folle avec les doigts en pensant à Fabrice. Je ne l’ai plus jamais revu mais il a longtemps hanté mes fantasmes dans lesquels il me traitait comme une salope alors qu’il avait une tête de cochon sur son corps d’homme et j’avoue que cela m’excitait énormément. Cette aventure excitait encore davantage mon mari. A sa demande, je lui racontais de nombreuses fois cette soirée et pendant plusieurs semaines mon mari jouissait sur mon visage comme le gros cochon l’avait fait. J’avais connu bibliquement deux autres hommes avant de rencontrer mon mari. Un copain régulier, Baptiste, chez qui j’ai habité pendant presque un an. Nos relations sexuelles étaient très classiques, j’y trouvais mon compte parce qu’il était tendre mais ce n’était pas l’extase. C’est moi qui l’ai quitté, au bout de l’ennui. Du coup, cette relation n’excitait pas beaucoup mon mari même si, avant lui, Baptiste est l’homme avec qui j’ai fait l’amour le plus ...