Un doux réveil
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fh,
grosseins,
voiture,
telnet,
volupté,
entreseins,
Oral
69,
tutu,
Comme j’aime ces moments-là… J’aime te voir dormir après que nous ayons fait l’amour, j’aime me réveiller quelques secondes avant toi et scruter du bout des doigts ce corps si parfait et si tranquille, se soulevant au rythme de ta respiration enfin apaisée… J’adore te redécouvrir à ton insu, soulever délicatement le drap qui dévoile plus qu’il ne cache ces courbes que tu m’offrais quelques heures auparavant… Ton sein qui se soulève, ton ventre qui se creuse… Mon doigt qui retrace ce chemin que mes mains et ma langue ont si souvent parcouru, reprend son exploration sur ta peau, passe sur le galbe de ta hanche, parcourt tes côtes et arrive enfin à l’objet de son désir, ton sein gauche, que tu m’offres sans le savoir. Remonter sur le côté et arriver à ton téton si sensible, que tu aimes tant que je mordille et que j’embrasse lorsque tu viens t’asseoir sur moi… Je me rappelle encore tes mots, ils résonnent dans ma tête comme le plus beau des ordres que j’ai eu à exécuter : — Tète-moi… Si tu savais à quel point j’aime le faire… À quel point j’aime ton corps, à quel point j’aime lui faire l’amour et le faire jouir… Dans ces moments-là où l’amour rejoint la baise à la recherche de la plus belle jouissance, je pourrais presque oublier que tu vas encore me quitter, que dans quelques heures tu ne seras plus là… La première fois que nous nous sommes parlé, presque électriquement, mettant au point les détails longuement abordés par mail puis par webcam, nous avions convenu que ce ne ...
... serait que du sexe, de la baise comme nous nous plaisions à le dire. Nous y sommes d’ailleurs très bien arrivés, que je me souvienne ! J’ai adoré baiser avec toi sur ce petit chemin, après que tu soies venue me chercher à la gare vêtue de ta petite robe d’été mettant en valeur la rondeur de tes seins… J’étais fier d’être près de toi, de découvrir enfin le parfum de ton corps qui me manquait tant, de marcher à tes côtés et voir ta robe se soulever… Je te trouvais si belle lorsque tu conduisais seins nus après que j’eus fait glisser tes bretelles… Et à en juger des coups de klaxon du camionneur qui nous a croisé, je n’étais pas le seul à le penser ! Nous nous sommes ensuite arrêtés au bord de cette petite route, le désir était trop fort pour nous deux et j’ai enfin pu gouter ta chatte, toi allongée sur le capot de ta voiture, ta robe enroulée autour de tes hanches… Tu étais… sexuelle ! Un sexe qui en appelait un autre, tu n’étais que désir. Je te revois encore, les seins écrasés sur le capot encore tiède de ta voiture, ahanant et me demandant de te prendre plus fort, les gouttes de sueur perlant au creux de tes reins alors que je tentais d’entrer au plus profond de toi, mes mains rivées à tes hanches… Quel bonheur que de jouir à l’unisson, allongés en 69 dans l’herbe, sentir ton plaisir couler dans ma bouche alors que tu avalais le mien… Tu étais si belle lorsque tu t’es relevée, remettant un peu d’ordre dans ta tenue et me disant qu’on allait être en retard… En retard pour quoi ? ...