Ma tante et moi
Datte: 01/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Anal
... m’étais épanchée la première, mon mari ne me touchait quasiment plus, il me reprochait même me laisser aller, les seins petits et plats, silhouette devenue mémérisante, sans attrait…Il me confia les mêmes sentiments envers son épouse, leur vie qui patinait, engluée dans la routine, invoquant leurs carrières qui demandaient de plus en plus de temps…Je fis une remarque, sur la taille de mes seins, ma poitrine, il argua ne pas pouvoir apprécier, jusqu’à sentir sa main se refermer sur un sein et la palper…Ce contact me surprit, je ne pensais pas sexe avec lui, respectant trop ma sœur et les principes moraux…Je ressentis néanmoins un certain tourment, vue ma baisse de libido forcée…Ce contact tabou, me laissa perplexe. Mais ne bougea pas et le laissa faire…C’était la première fois que je voyais Phil en homme…J’avais des propositions, une femme reste une femme, et si l’un n’en veut pas, d’autres… Mais je n’avais pas d’amant, pas d’officiel, ni de passager…Cela commençait à me peser certains jours de spleen…Le coquin insistait, massant mes seins qu’il trouvait à son goût…Il n’était pas question d’aller au-delà d’un jeu anodin, ou de plaisanteries osées entre adultes un peu émoustillés par ce délicieux Rosé de Provence et cet excellent champagne…Lors du slow tout à l’heure, juste avant l’interruption par ma fille, il m’a semblé, quand il m’a prise dans ses bras, ressentir comme un émoi… Puis au fil de la dance lascive, percevoir sur ma cuisse, les effets pernicieux de ce ...
... rapprochement…Je restais sur cette impression fugitive, l’oubliant très vite tout au long du parcours…Concentrée à l’aller, ne pouvant parler plus précisément, je restais anodine…Dès le retour, je me détendis, je me sentais bien avec lui, j’abordais des choses plus personnelles, intimes, comme avec sa mère au téléphone, je n’avais que peu d’amies pour me confier…J’ai craqué quand il a parlé de lui et de son couple… Mais il restait mon neveu…J’ai senti ses mains décupler mon désir, mes seins étaient petits mais toujours aussi sensibles.Et lorsqu’il s’insinua sous ma jupe, je redescendis de mon nuage.Je mis le holà, il était à ma porte, pas question de coucher avec mon neveu…Ses paroles résonnent encore dans ma tête…- Tu es trempée… Tu te refuses… Je ne t’attire pas ?- Il fait chaud dans cette voiture, et je n’ai jamais trompé mon mari, pas même en pensées, et tu es mon neveu, le fils de ma sœur…- J’ai envie de toi, depuis des années je te regarde comme une femme, pas ma tante…- Oh, non, ce n’est pas vrai, tu exagères de me dire ça… Tu as bu et tu veux me sauter…J’étais atterrée… Depuis des années, il pensait à moi en tant que femme, il me désirait plus que son épouse… Je n'avais rien vu...Ce soir, il me courtisait, sans changer son discours d'un iota, recherchant l’occasion, ma complicité, mon accord…Mais non, j’avais juré… Que faire ?Sa réaction fut instantanée, il me présenta son sexe, il était en érection, un délice, quel gâchis… Qu’est-ce que je dis!... Je suis folle…J’étais ...