Ma tante et moi
Datte: 01/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Anal
... pucelle…Juste une fois… Une bribe d’adultère, une pipe dans les bois, après un déjeuner au bord de la rivière, il était trop beau pour la lui refuser.C’est à partir de là que j’avais pu avancer dans ma vie professionnelle et grimper les échelons, sans jamais coucher avec lui, il était mon patron et s’était marié le lendemain…Le lendemain, je prenais un prétexte pour le revoir… Mettre les choses au point !Il m’avait agressée, perturbée, presque violée…J’avais réfléchi toute la nuit… Comment lui faire payer son audace ?Je mis une jupe fendue, un body en dentelles, très moulant, caché par un pull en mohair vaporeux, de quoi l’émoustiller, sans faire la pute… Un juste milieu…Ses yeux parlèrent pour lui…Je voulais l’attirer à mon tour, il me plaisait, j’avais rêvé de son sexe, je l’avais fait plusieurs fois dans mon rêve, et j’en avais joui… J’étais à point !Lascive, je lui tendis la main sèchement, pour commencer…Puis je pris la parole et violemment, les yeux dans les yeux, le tançais pour son comportement qui n’était pas digne d’un neveu, même attiré par la beauté de sa tante plus âgée…En réponse, il me prit dans ses bras et m’embrassa sauvagement…J’avais gagné en sauvant les apparences, mes démons comprirent que je n’y étais pour rien, et s’envolèrent en criant que l’amour et surtout le sexe, n’ont pas de frontière, ni d’œillères…Je le désirais tant, que j’en bégayais…On se déshabilla et lorsque je fus complétement nue, écartelée devant lui, je m’offris sans réserve, le voulant ...
... en moi, tant pis pour les préliminaires, nous étions si excités, on y reviendrait après…J’explosais ma libido dans ses bras, comblée par son sexe, ivre de ses caresses, délirante, il me montrait le chemin, je suivais, appliquée, sans regret jusqu’aux portes du plaisir, aux orgasmes délirants, mon corps se libérait.Je déchirais mon contrat, le jetant aux orties, s’il ne voulait plus de moi, je plaisais à d’autres, j’étais une furie, commentant mon plaisir, et ce que je n’avais jamais osé, il m’apprit à le faire, et même au-delà…Au matin, après cette première nuit d’amour qui s’éternisait, je lui dis « je t’aime », après avoir joui une énième fois, alors que peu avant, j’avais tout refusé…Ces deux ans me pesèrent dans le sens où on se cachait.Sauf de temps à autres où on prenait le temps de s’aimer, anonymes dans des lieux inconnus, en toute quiétude, et je me libérais encore…Il m’apprit à aimer mon corps, à le montrer, en riant aux éclats devant leurs mines chafouines, en leur parlant anglais…Je devenais naturiste, libertine, il me prenait dans la nature, dans les parkings, debout, tremblante, bravant les caméras des cabines d'essayage.Il parlai d’échangisme, de clubs érotiques, je dis oui à tout, je voulais vivre ma vie, ma sexualité, et plus que tout, vers la deuxième année, je voulais un enfant de lui…Je vivais à fond ma passion pour Phil…C’était fusionnel, un feu d’artifice.Phil était devenu ma joie de vivre, autant que ma fille, je ne pensais qu’à lui, le jour et surtout ...