Carole
Datte: 01/12/2019,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
L’aventure que je voulais vous raconter s’est produite il y a quelques années, à un moment où le célibat me pesait tellement que je m’étais inscrit dans une agence. J’étais loin de me douter de ce que j’allais y trouver. Chaque semaine ou presque, une rencontre différente. Se présenter. Se montrer sous son meilleur jour. Au téléphone, c’est assez facile. Être charmeur, gentil, rigolo. Rêver aussi, mettre une apparence sur la voix, exercice ô combien risqué. Et puis vient rapidement le jour de la rencontre physique. Et la déception mutuelle neuf fois sur dix. Je me souviens d’une infirmière –appelons la carole- qui bossait aux urgences de l’hôpital d’Aix en Provence, ma ville. Rencontre crispée. Puis le moment où elle se lance — Désolée d’être directe mais …vous ne me plaisez pas suffisamment… Ouf, soulagement, car moi non plus je n’accrochais pas. Et en même temps, c’était une fille chouette, pas envie de la brusquer, de la repousser. Soulagé. Du coup, plus détendus nous sommes restés à parler à la terrasse du café de Paris jusqu’à minuit en oubliant de manger. Magie des soirs d’été. Nous avons parlé de tout et même de rien, de ses voyages à pied aux confins de la Libye, de mes passions, de nos métiers, de nos visions de la vie. Le moment du départ venu, dans le parking, elle me serre affectueusement dans ses bras, comme une copine, en me disant : — Tu m’as remonté le moral. Je suis contente de t’avoir connu ! Je remonte dans ma voiture pour rentrer chez moi avec un ...
... sentiment mitigé. Je n’ai encore pas rencontré la bonne et, en même temps, c’était une bonne soirée. Cinq minutes plus tard, je me retrouve à un feu rouge et la voiture qui vient s’arrêter près de moi n’est autre que la sienne. Je suis un peu gêné, on se sourit. Je démarre et m’amuse de constater qu’elle suit le même chemin que moi. Si ça se trouve nous sommes voisins. Mais je me fais des idées, elle me double et disparaît devant moi. Elle roule vite, quand même… Quelques instants plus tard, je la rattrape. Sa clio est garée sur la droite et elle est debout à côté. Est-elle parvenue devant chez elle ? Elle me fait signe. J’hésite puis je m’arrête. Elle ouvre ma portière et s’assied à côté de moi, je la regarde avec surprise, je n’ose rêver à ce revirement. En plus, je ne flashe pas vraiment. Et là, surprise totale, elle se baisse sur moi et commence à ouvrir mon pantalon en me disant : — Démarre ! Je démarre doucement, je ne sais pas trop comment faire. J’ai failli lui dire « Carole tu fais quoi ? », comme si ça ne se voyait pas… J’aurais eu l’air fin. J’hésite à la ramener chez moi, peur de briser ce début de magie. Alors je roule doucement, pour ne pas qu’elle change d’avis… Pendant ce temps la coquine a sorti mon pénis et joue avec. Elle pianote dessus, me branle un peu. Je commence à vraiment bander fort. Sa bouche est à dix centimètres de ma queue et je ne suis même pas certain qu’elle va me sucer. Elle souffle le froid et le chaud, puis me lèche le gland. Je pose ma main droite ...