1. La vilaine petite sorcière 1


    Datte: 01/12/2019, Catégories: Humour, Lesbienne Masturbation

    ... rapidement sans les faire souffrir puis à les dépecer. On se fera un bon ragoût avec de l’ail des bois et du boudin avec le sang et de la saucisse avec les abats. Besoin de rasoir ou de tampons médiévaux ?— Non ! Et ça va pour la pizza finalement. Je peux-tu m’habiller, la bizarroïde ?— Oublie pas la lotion solaire, miss je parle au miroir. Tu te prends pour Blanche-Neige. Tu en as la couleur en tout cas. T’es comme moi, tu ne bronzes pas, tu brûles. Je vais regarder pour les ceintures de chasteté, je ne fais pas confiance à ton prince charmant, le beau Pierre. Et ne mange pas de pomme offerte par une sorcière. Je ne me taperai pas deux heures de route pour aller chercher ton prince juste pour qu’il vienne te réveiller avec un baisé.Je la regarder comme si elle sortait de l’asile. Ma mère a un humour vraiment étrange parfois. Elle savait bien que je n’étais plus vierge depuis deux ans.— M’man, je suis toute nue je te rappelle. Dégage !!!Je me rendis compte trop tard que je venais de découvrir mon sexe pour lui montrer la porte et le cacher a nouveau et en vitesses. Merde !— Une coupe bikini te ferait du bien ma fille. J’ai tout ce qu’il faut pour ça.— J’ai vu ça hier, malheureusement. Ça pique trop quand ça repousse et va t’en, évapore, dégage, pèse sur le bouton du téléporteur.— Bon, bon, pas de panique. Seigneur !Elle rit de plus belle en sortant et refermant la porte et je finis par rire aussi pour ensuite me laisser tomber sur le vieux lit de camp trop dur sous mes ...
    ... grosses fesses en me vidant les poumons. Mon beau Luc m’avait laissé pour une Amérindienne, ça, ma mère ne le savait pas encore. Seigneur ! Mais je n’en faisais pas une maladie, car c’était la même chose depuis qu’un gars m’avait défloré un soir sur la banquette arrière de sa voiture. Il me baise, s’amuse un moment avec mes seins ballon en me disant que je suis la plus belle, la plus bandante de l’école puis me laisse pour une autre ou c’est moi qui les abandonne. L’amour fou, connaît pas, pas encore ou c’est pas pour moi. Je dois être aussi bizarre que ma mère, on me le dit souvent d’ailleurs. Je pris ma tête dans mes mains posant mes coudes sur mes genoux en sentant mes maudits seins s’écraser sur mes cuisses et soupirer longuement en agitant mes orteils. J’enlevai d’une tape des mèches de cheveux rebelles de mon visage en entendant une portière claquer, l’auto démarrer, reculer et partir, puis plus rien rien, sauf la rivière qui s’écoulait devant le chalet, a rendre une ado complètement folle.Mais, ce que ma mère ne savait pas, c’est que les seuls moments que j’appréciais vraiment ici, c’était quand elle me laissait seul justement pour aller aux villages ou faire de la photo, parfois toute la journée, car je pouvais alors sortir mon vibrateur vraiment trop bruyant et jouir a répétition, une vraie maladie. Jamais, ou presque, je ne jouis en me faisant baiser, c’est le fun, mais pas moyen d’atteindre l’orgasme avec un garçon, ils finissent toujours trop vite ou s’y prennent mal, ...
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