1. La vilaine petite sorcière 1


    Datte: 01/12/2019, Catégories: Humour, Lesbienne Masturbation

    ... écartelé sur le lit, a me voir en partit dans le miroir. Je me fis penser à une pauvre victime de la sainte inquisition.— Rien a dire toi, le miroir.« Hélas princesse, je ne suis point fin connaisseur en la matière, pour ce qui est des dames a s’amener au grand plaisir en solitaire. Je n’y arrive point moi même d’ailleurs. »J’éclatai de rire avant de réaliser que ma mère était partie et que j’avais quand même entendu parler ce foutu miroir. Ma mère avait acheté ce chalet trois ans plutôt et il était déjà la et jamais je ne l’avais entendu. Je dois devenir cinglé, wais, pas de doute là-dessus.-Tu parles vraiment le miroir ?Aucune réponse, qu’un lourd silence flottant dans l’air humide de la chambre à part ma respiration de frustrée et quelques grillons sans doute en train de copuler, les chanceux. Je le regarder un long moment, entendre des voix, c’est un peut stressant. Gros soupirs et me v’là a ressassé a nouveau mon problème de vibro. Une larme me coula sur la joue que s’essuyer rapidement en me disant que j’allais devoir me résigner à en parler a ma mère. La honte totale ! J’en mourrais pas, mais bon, c’était surtout de la convaincre de retourner au village et aujourd’hui parce que demain elle partait tôt faire de la photo et elle en aurait pour la journée. Merde ! Me v’là encore les doigts sur le sexe pour une tentative désespérée, mais soudain, on frappa à la porte du chalet, chose qui n’arrive jamais ici. Des coups secs et rapides. Je sursauter comme si une anguille ...
    ... électrique venait de me mordre les fesses. Mes cuisses se refermèrent comme un piège à castor sur mes pauvres doigts. Même a la maison entendre sonner ou frapper a la porte d’entrée dans un moment pareil, c’est stressant, mais ici c’est pire. Merde ! Qui ça pouvait être ? Nos seuls voisins, très éloignés, n’étaient jamais là a ce temps si de l’année. Un voleur, un prisonnier évadé, un chasseur perdu, un extra-terrestre, sûrement pas un ours, ceux-là ne frappent jamais avant d’entrer. Au moins, le rideau de ma fenêtre était tiré. Mais ma fenêtre donnait sur le côté du chalet, impossible de voir qui ça pouvait bien être. Ça frappa encore. Peut-être un beau garde forestier, jeune avec de larges épaules.— Oui, criai-je nerveuse en m’assoyant dans le lit en me demandant si ma mère avait barré le moustiquaire, sûrement pas.Ça frappa à nouveau. Paniquer, le cœur battant je voulus enfiler mon bikini traînant sur la table basse, mais j’y renoncer en me disant que si c’était un ou des gars, a me voir en maillot avec les seins que j’ai, ils risquaient de me violer ou pire, de me trouver laide.— Y as quelqu’un ? cria une fille.Ouf, une fille !— Oui, j’arrive, criais-je plus fort en enfilant un short-jean ultra court en sautant sur place pour lui faire passer mes maudites fesses, faisant remuer la chambre au complet, même le chalet, j’entendis même quelque chose tomber dans la chambre de ma mère. Puis je batailler pour le boutonner en me rentrant le ventre au max, en sueur plus que jamais. ...
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