Lettres d'une femme mariée - 1
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
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... qui, pour toi, n’est que le patron de mon agence, me rapprochait en quelque sorte de toi. Je crois que tu as dû ressentir quelque chose, car j’avais l’impression que tu devenais plus amoureux à la mesure de l’amour naissant qui grandissait en moi, sans que tu le saches alors, pour un autre homme. D’ailleurs tu me disais souvent ne m’avoir jamais vue aussi radieuse. Maintenant que les enfants sont partis faire leur vie, je sais que tu auras la ressource de refaire la tienne, si ce n’est de m’oublier. Tu es un homme séduisant et beau qui sait apporter le confort et le réconfort, et tu n’auras pas de mal à séduire d’autres femmes. Quant à moi, je ne pouvais plus continuer à vivre dans cette double réalité. Je ne pouvais éternellement te mentir. J’ai conscience que cette révélation me sépare définitivement de toi et de cette vie douillette et tendre qui, pendant de longues années, a été la mienne. Sache que, si je ne me suis jamais sentie aussi heureuse, c’est en grande partie grâce à toi. Mais ce que m’apporte cet homme, tu ne peux pas me l’offrir, et d’ailleurs je n’aurais jamais osé te le demander. Il est inutile que tu cherches à me contacter. Nous avons tout mis en place pendant ces derniers jours pour ne pas être joignables. Je peux seulement te dire que nous voyagerons beaucoup et que je ne cesserai probablement pas de t’écrire, mais je ne t’enverrai mes lettres qu’en quittant les lieux où je les aurais rédigées. Je te couvre une dernière fois de mille baisers, mon petit ...
... mari chéri que j’aurais aimé pouvoir serrer une dernière fois dans mes bras. Ta femme qui t’aime lundi 27 avril Mon cœur, Je viens de quitter l’agence et, avant de venir te rejoindre, je me suis installée dans le café d’en face. Il y a beaucoup de bruits autour de moi, mais cette agitation ne me dérange pas… Je suis sur un petit nuage !… Je ne sais comment te décrire ce que je ressens. Il y a la joie, bien sûr, de me sentir redevenir quelqu’un, maintenant que j’ai à nouveau un travail, mais aussi de l’excitation qui me rappelle l’exaltation que j’avais lorsque j’étais collégienne et que j’étais tombée sous le charme d’un garçon pour la première fois ! Aussi, je ressens une fébrilité un peu folle à écrire ces lignes, et même si je sais que c’est absurde, je crois que je me sens amoureuse. J’avais préparé cet entretien en ayant conscience que dans ce genre de rencontre il y a toujours une part de séduction. Tu m’as d’ailleurs encouragée à porter ce tailleur qui, selon toi, m’allait à ravir, parce qu’il mettait en valeur ma « jolie silhouette ». Tu me disais aussi que l’on pouvait apprécier davantage la finesse de ma taille et l’honnête volume de ma poitrine, dont je dois avouer être assez fière. Et puis, il y avait ce généreux décolleté que tu m’as encouragée à mettre et que tu m’as assuré n’être pas vulgaire. Tu m’as même incitée à mettre des porte-jarretelles et ces bas de soie au discret motif. Ceux-là même que je ne porte d’habitude que pour te séduire davantage ou lorsque ...