Echec et mate
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fhh,
fhhh,
grp,
extracon,
extraoffre,
Collègues / Travail
grossexe,
poilu(e)s,
vacances,
piscine,
campagne,
collection,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
rasage,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
échange,
humour,
... fantasme où tout me paraissait si réel et si vrai. — Ça fait bien deux ou trois fois que je te demande ce que tu veux boire, reprend-il. Ah ! On veut me faire boire en plus ! Eh bien non, je vais rester sobre, comme cela pas d’excuse : je serai vraiment la salope que je veux être. Mon mari veut avoir épousé une femme qui se comporte en pute, en catin ? Soit, mais je serai une garce en pleine possession de ses moyens. Je veux qu’il sache que je désire, plus que tout au monde, les jouissances à venir, tous ces contacts avec d’autres corps que le sien, toutes ces caresses qui me font d’ores et déjà défaillir, toutes ces queues qui dégorgeront leur liqueur pour moi, toutes ces vulves dégoulinantes de cyprine que je m’offrirai. D’ailleurs ça commence bien. Entourée de mâles, je sens leurs sexes, sur mes fesses, sur ma chatte et ma cuisse, et même contre mes mains inoccupées (pour l’instant). Je n’ai pas envie de me réfréner, mais plutôt de me laisser aller à ces délices interdits, à ceux que les esprits étroits appellent "plaisirs immoraux". Les mecs qui m’entourent sont tous beaux comme des dieux. Marco a un short en jeans à l’imitation de son amie avec une chemisette ouverte sur son torse velu, Sylvio quant à lui ne porte qu’un large bermuda de surfer. Quant à Florent (ça y est, j’ai retrouvé son prénom et d’où je le connaissais : c’est le maître-nageur qui faisait chavirer le cœur de toutes les midinettes du bord de plage) on comprend mieux pourquoi il est le chéri de ces ...
... dames (et demoiselles) puisque là (pour moi) il porte uniquement un cycliste qui lui "moule le paquet", et autant vous dire que ce paquet prend de l’ampleur brusquement. Je décide de manquer à ma parole, et après avoir dégusté une dernière coupe de l’excellent champagne qu’a ramené Marco (il a toujours fait les choses en grand - car ça fait tout de même, si je compte bien, plus d’un litre de breuvage par personne), je me sens bien partie et je constate qu’il en est de même pour les autres. Leurs mains ne se gênent pas pour me palper, pour me flatter la poitrine et les fesses, pour se perdre sur mon entrejambe sous ma mini qui maintenant en est réduite à une ceinture au niveau de ma taille. Le maître-nageur me débarrasse de mon chemisier devenu plutôt gênant pour eux, qui veulent tâter mes seins comme s’il s’agissait de ces icônes que l’on frotte pour avoir de la chance. Son cycliste, déformé par son gourdin, a tôt fait de rejoindre la fine étoffe. Oh ! Bonheur, son sexe ressemble à une batte de base-ball (baise-ball ?), et comme en plus il est circoncis, son gland semble aussi volumineux que les cornets de glace à la fraise dont j’étais folle en étant plus petite (le marchand de glaces me connaissait et me servait bien). D’ailleurs il semble en avoir la taille et la couleur violine, je le goûte immédiatement en le léchant, le suçant et du même coup, je fais encore augmenter sa tumescence. Sylvio, derrière moi, en profite pour dégrafer ce qui reste de ma minijupe, la fait tomber ...