Florence
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
grosseins,
parking,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
nopéné,
... pas la quitter du regard. Elle a paru sortir de sa torpeur et m’a regardée d’une drôle de façon. Ses paroles, à peine murmurées, ont exprimé ce qu’elle ressentait : — Je t’aime, ma p’tite Flo… tu le sais, hein ?— Oui, je le sais, lui ai-je murmuré, avec la même douceur qu’elle, nos lèvres presque en contact. Sa déclaration me rendait folle de joie, et celle-ci m’a donné envie de la taquiner encore : — Tu le veux toujours, ton soixante-neuf ? Elle parut réfléchir, se rappeler qu’elle me l’avait demandé à une époque très lointaine. — Oui… j’en ai tellement rêvé !— Ben, tu l’auras… mais, je ne t’ai pas encore montré… ce que je voulais te montrer…— Quoi… mais ça fait des heures et des heures que tu me lèches, m’embrasses et me tripotes… qu’est-ce que tu me veux encore, a-t-elle conclu, en riant aux éclats.— Je veux juste te montrer que si je m’occupe de toi, tu ne pourras pas me rendre mes caresses… laisse-moi te montrer.— Alors là, tu t’vantes… de toute façon, tu pourras pas… j’ai déjà trop joui, quand tu t’es occupée de mes pieds ! Je lui ai fermé la bouche d’une bise, et sans rien dire, sans plus me soucier du reste de son corps, ai arrêté ma tête tout près de sa vulve. Il ne m’a fallu qu’un petit peu plus d’une minute, je crois, pour lui offrir un orgasme de magnitude sept ou huit, sur l’échelle ouverte de son extase ! Après avoir respiré l’odeur de ses sécrétions. Celles-ci m’ont aidée à enfoncer le pouce de la main droite dans son anus, et en maintenant ses lèvres ...
... ouvertes, entre deux doigts de l’autre main, j’ai fait glisser, doucement d’abord, puis de plus en plus vite, ma langue de son périnée jusqu’à son clito. Très vite, elle a perdu la boule, alors l’index et le majeur de ma main droite ont investi son vagin, et je me suis mise à pistonner ses deux orifices, simultanément, tout en continuant de sucer son clitoris. Ça a été vraiment très difficile, de la maintenir, tellement elle ruait, se cabrait, tout en criant. Et cet orgasme-là, je l’ai fait durer, en jouant avec son bourgeon tout dur, celui-ci emprisonné entre mes lèvres. Je n’arrêtais pas de l’allumer et de le rallumer, tant et si bien qu’elle a repoussé ma tête de ses deux mains. Sa mouille débordait et je n’ai pas pu m’empêcher de la boire. Et elle m’a repoussée une seconde fois. — Non… arrête… par pitié… ça fait mal… * Elle m’a dit la seule chose qui pouvait m’empêcher de retourner boire à sa délicieuse source. Je voulais la laisser respirer à son aise, alors je me suis allongée à côté d’elle, juste ma main posée sur son ventre tout chaud, qui montait et descendait encore. Elle était couverte de sueur, les lèvres brillantes, entrouvertes sur un sourire qui exprimait tout son bonheur. Jamais je ne l’ai trouvée aussi belle qu’à cet instant précis. Au bout d’un bon moment, elle a murmuré : — T’avais raison… Jamais j’aurai pu… te rendre tes caresses…— N’est-ce pas, hein… Bon, tu me diras quand tu seras prête…— À quoi ?— Ben, pour un soixante-neuf, pôv cruche !— Quoi… t’en as pas ...