L'odieux chantage
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... de l’escalier, Gloria l’étudie sans s’en cacher le moins du monde et me dit : — Très belle robe, vous l’avez mise spécialement pour notre visite ?— Oui, un peu. Je n’ai pas su quoi répondre devant un discours aussi direct et c’est la première chose qui m’est venue à l’esprit. La pièce où nous nous trouvons désormais est encore plus lumineuse que les autres car elle est en plein soleil. Gloria jette un coup d’œil panoramique et me dit toujours avec ce sourire pervers aux lèvres : — Magnifique, je ne sais pas comment vous faites pour supporter votre manteau avec la chaleur qu’il fait dans cette pièce.— Oui, vous avez raison, il fait très chaud ici, inutile de mettre le chauffage. Décidément cette anglaise n’y va pas par quatre chemins et comprenant clairement ce qu’elle attend de moi, je ne résiste pas à l’envie de lui faire ce plaisir. J’ôte mon manteau et l’accroche à une poignée de fenêtre. Sa réaction est immédiate : — Vous avez vraiment une très belle robe, Catherine, il va falloir me donner l’adresse de la boutique.— Je l’ai acheté sur le net, je vous donnerai l’adresse. J’ai un peu de mal à l’imaginer avec cette robe sur le dos car elle est habillée de façon très classique mais il est vrai que son corps est tout à fait capable de supporter une tenue de ce genre sans être ridicule. Nous faisons rapidement le tour de l’étage quand Gloria s’arrête et me demande : — C’est quoi cette échelle qui monte au plafond ?— C’est l’accès au grenier, vous voyez, il y a une trappe au ...
... plafond.— J’aimerai bien aller voir, vous passez devant.— Oui, bien sûr. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu’elle me demande ça pour profiter un peu plus de ma tenue ; elle a bien dû sentir dans l’escalier que je suis nue dessous. De toute façon, je suis sur des charbons ardents depuis cet incident. Tout mon corps est sous l’emprise d’une profonde excitation depuis qu’elle a montré clairement son intérêt pour moi aussi bien par le geste que par la parole. Avec la matinée que j’ai passée, il ne m’en faut pas plus. Aussi je n’ai aucun mal à attaquer l’ascension de l’échelle tout en sachant que Gloria sera juste derrière moi le nez dans mes fesses. Arrivée au plafond, je pousse la trappe qui pivote sur ses charnières. L’échelle stoppe brusquement, arrivée au plancher du grenier. Il n’y a rien où s’accrocher et faciliter la dernière étape pour prendre pied. Je suis obligée d’écarter une jambe pour poser un genou sur le plancher et ainsi pouvoir me mettre debout. Je sens ma robe glisser sur mes fesses et stopper au niveau de ma taille. J’ai maintenant le cul complètement à l’air, une jambe écartée et repliée reposant sur le plancher. Je ne peux pas être plus offerte à son regard. Mes deux mains sont posées sur sol prêtes à me hisser mais Gloria ne résiste pas plus longtemps. Je sens ses doigts glisser sur mon bas-ventre alors que l’autre main s’attaque à une de mes fesses. Je lâche un cri quand je sens un doigt suivre mes grandes lèvres qui, bien ouvertes, accueillent cette ...