L'odieux chantage
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... disparaît sans un mot de plus, il a l’air d’être en retard. Une heure passe quand mon téléphone sonne. — C’est Francis, – le patron encore une fois – je viens de voir que j’ai oublié sur mon bureau le dossier de la maison à vendre, du coup je ne connais ni l’adresse ni le nom de l’acheteur. Je me rappelle seulement l’heure du rendez-vous. Pouvez-vous aller dans mon bureau et me donner tout ça.— Oui, bien sûr, j’y vais. Mon téléphone à la main, j’entre dans son bureau et je trouve rapidement un dossier posé sur la table. C’est le bon. Je lui transmets alors les informations qu’il me demande. Il me remercie et raccroche. Je suis sur le point de partir quand son ordinateur émet un bruit de sonnerie. Cela attire mon attention et mon regard se porte sur l’écran qui est resté allumé. Je vois que c’est un message arrivant dans sa boîte mail restée affichée à l’écran. Inconsciemment, je ne peux m’empêcher de lire le libellé des autres messages empilés sous le dernier arrivant. Je vois qu’Anne-Marie, sa sœur et ma professeur d’anglais si particulière,(Ndr : voir le récit précédent) lui a envoyé deux e-mails durant le week-end. Les messages contiennent des pièces jointes. Je ne sais pas pourquoi mais une sorte d’instinct me dit que je suis le sujet de ces messages. Bien que cela ne soit pas dans mes habitudes de lire le courrier des autres, je m’empare de la souris pour ouvrir le premier. J’avais bien raison, on parle de moi ! «Tu avais vu juste Francis, ta Catherine est un sacré ...
... numéro qui a comblé tous mes désirs. Comme promis, je te laisse juger par toi même en regardant les photos prises pendant mon dernier ’cours’ » Malgré ma grande ignorance des choses de l’informatique, j’ai appris que les fichiers finissant en JPG sont des images. Tous les éléments joints portent ce nom. J’ouvre fébrilement la première photo jointe – il y en a au moins une quinzaine d’autres avec. Pas de doute, on me reconnaît bien sur celle-là et elle a bien été prise pendant ma leçon de vendredi passé. Je me vois de profil, couchée sur le dossier du fauteuil, les seins presque à l’air et ma jupe relevée laissant apparaître mon postérieur. Ma figure montre une profonde satisfaction. Je me précipite sur les autres et toutes les scènes de ce fameux vendredi sont là, même une, prise à mon arrivée certainement, car je suis encore habillée de ma veste. L’autre message ne contient que le reste des photos sans commentaire avec des poses et des situations de plus en plus osées. La dernière est la plus chaude : je suis assise au pied de la porte fenêtre, les cuisses largement ouvertes, le chemisier ouvert sur ma poitrine dont les mamelons sont proéminents. Mon visage affiche une image de plaisir et d’extase totale pendant que ma main s’occupe un peu plus bas. Toutes y sont, du début à la fin, les scènes de flagellation, à la fenêtre, à ses pieds et le reste rien ne manque. L’instant de surprise passée, bizarrement je n’ai pas une seconde un sentiment de colère de voir qu’Anne-Marie a ...