L'odieux chantage
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... déjà me demander bien pire et le patron suit visiblement mes escapades avec elle de près. On finit par en déduire que c’est quelqu’un qui a accès à mon ordinateur et à celui du patron et, par conséquent, a accès à l’agence ou y travaille. Cela laisse pas mal de monde finalement entre les clients que l’on fait souvent patienter dans les bureaux des uns ou des autres par manque de place, les collègues ou services extérieurs qui passent parfois. Le petit câlin bien mérité qui suit avec Sabrina lui donne encore l’occasion de faire une réflexion. Elle regarde sa main qu’elle vient de retirer de mon entrejambe alors que l’on commence juste à s’embrasser et me dit avec un sourire victorieux : — J’avais raison ! Ça t’excite ton histoire ! T’as la chatte qui dégouline déjà, espèce de grosse cochonne.— Arrête de m’emmerder et caresse-moi. C’est vrai qu’elle à raison la garce mais je ne veux pas lui avouer. Maintenant que le moment de panique est passé, que le sentiment de frustration se dissipe un peu, je me rends compte qu’il me reste une profonde excitation de cette histoire. Sabrina va rapidement m’aider à combler ça, et vite parce que je sens qu’elle monte de plus en plus. Le week-end se passe ainsi, ne me laissant si j’ose dire, que le côté positif des choses. Le lundi me ramène vite à la réalité, à midi je profite d’une visite pour foncer chez moi et vérifier ma boîte aux lettres. Énorme soulagement, un paquet m’attend bien à l’intérieur. Je serai prête demain, j’avais si peur. ...
... Je n’ai pas le temps d’essayer cette fameuse robe ce midi mais le soir je me libère le plus tôt possible, impatiente malgré tout de voir de quoi je vais avoir l’air avec ça sur le dos. La robe dans les mains, je me rends compte que le tissu est terriblement fin. Je me déshabille et j’enfile la chose. Mon dieu ! Ils osent dire que c’est une taille M, même pour un S je trouverais ça serré ! J’ai beau tirer dessus, la robe arrive juste sous mes fesses. Je marche un peu avec et je suis soulagée de voir qu’elle n’a pas l’air de vouloir remonter plus haut. Par contre, dès que je m’accroupis, je me retrouve la robe au milieu du cul. Ma poitrine aussi est moulée de façon indécente comme le reste de mon corps. Mes bouts apparaissent clairement en tendant le tissu. Comme le disait Sabrina, heureusement que je suis habituée à porter des tenues sexy ou au moins légères. Mais là, c’est vraiment beaucoup plus court que la plus courte de mes jupes, c’est surtout ça qui me gêne le plus. Mais que faire ? Je suis bien obligée de me plier aux volontés de ce salaud pour l’instant. Ceci dit, je ne peux m’empêcher de m’admirer dans le miroir en me tournant et retournant devant… J’arrête, je vais finir par y prendre goût. J’ai passé une nuit horrible et je me réveille ce mardi avec une triste mine. L’angoisse a pris le pas sur l’excitation finalement ressentie durant le week-end. J’ai un peu désobéi à mon mystérieux « Maitrevoyeur », j’ai quand même enfilé une culotte pour me sentir moins nue. Un ...