-
Nuit blanche
Datte: 03/12/2019, Catégories: ffh, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, vengeance, massage, jeu, sm, attache, BDSM / Fétichisme
... est un peu compliquée, Nathalie l’appelle « le réveil du python ». Sans chercher à davantage retenir ma respiration je laisse mes poumons inspirer une bouffée d’air frais. — Voilà j’ai terminé. Une coque de glace se referme sur moi et me ramène brusquement à la réalité de l’instant présent. Une forte compression s’exerce sur tout mon thorax et même mon ventre. Je n’ai jamais ressenti à ce point le poids des cordes, mon corps est rigidifié par les liens, mes bras sont tétanisés, le sentiment d’impuissance est absolu. Me retrouver ainsi soumis devant Catherine excite mes fantasmes et je ne peux que constater l’énorme érection de mon pénis. Secoué par cette tempête sensorielle je suis obligé de commenter à haute voix mes impressions. — Houlà c’est fort, c’est puissant… Mais je peux à peine respirer !— Ne t’inquiète pas je sais exactement jusqu’à quel point il faut serrer. C’est un peu impressionnant au début, mais tu vas rapidement t’habituer à cette constriction. Tu as l’impression d’avoir enfilé un vêtement trop serré et tu es mal à l’aise, mais d’ici quelques minutes tu te seras habitué à cette contention. Il est possible de varier à l’envie les efforts de contention et par conséquent le ressenti de la corde. Certains ligotages donnent l’impression d’être lâches pour stimuler le captif à tenter de vaincre ses liens, alors que d’autres sont très contraignants pour que la soumission soit totale. Pour cette première expérience avec ...
... toi, j’ai mis l’accent sur une construction en crescendo de ta soumission. D’abord la douceur pour les poignets, puis une évolution vers une contention plus forte. Incroyable, elle me cause tranquillement de la pluie et du beau temps des cordes pendant que je suis au pinacle du désir sexuel. Mais que ne vient-elle enfourcher mon sexe bandé et violacé ? Qu’attend-elle pour libérer les pulsions sexuelles qui bouillonnent en moi ? Je te veux Catherine… je te… — … veux !— Pardon Éric ?— Je te veux !— Arrête, tais-toi !— Viens sur moi !— Arrête, je ne peux pas, je n’ai pas le droit de faire ça.— Fais-moi l’amour, baise-moi !— Non… je n’ai pas le droit… Nathalie… Je…— Empale-toi sur ma verge !— Je… Oh Éric…— VIENS ! Sans plus parler, ni résister, ni réfléchir, Catherine vient se positionner face à moi. Elle défait la ceinture de son kimono et ouvre largement les deux pans de son vêtement. Nos corps nus fusionnent aussitôt et disparaissent dans le kimono qui se referme dans mon dos. L’explosion est totale, malgré les liens qui m’engoncent et me restreignent, ma verge surchauffée s’engage instantanément et remonte profondément l’étroit fourreau de Catherine. Cette pénétration tant attendue est si passionnée que la belle ne peut contenir un gémissement de bien-être. Nos corps entament une danse intense et fluide faite d’immenses ondulations à l’image de la houle sur la mer. Au cœur de cet océan orgastique, nous sommes seuls au monde… Ou presque…