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Drôle de trio
Datte: 03/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe
C'est un dimanche d'été, le matin il ait déjà très chaud. Comme je vis pratiquement nue, je mets sur moi une simple robe tenue par deux cordons sur les épaules. Bien sur je ne porte rien d'autre. Je ne me doute de rien, sauf qu'à la boulangerie il y a du monde: je fais la queue comme tout le monde: je connais très bien la boulangère, Odette avec qui il m'arrive de passer des moments festifs: nous nous aimons pendant des heures. Elle me glisse gentiment un petit mot: Tu te fais remarquer, les cordons sont trop longs: je peux voir le début de tes tétons. Elle me sert vite, je pars chez moi en vitesse: je me regarde dans la glace: c'est vrai la moitié au moins la moitié de ma poitrine est dehors. J'aurai pu rectifier ma tenue. Comme je ne supporte pas trop la chaleur j'enlève cette foutue robe. Mais voilà, la nudité m'inspire toujours: j'ai envie de jouir: sans m'en faire, je me couche sur le divan, jambes ouvertes, ma main avec les trois doigts sur mon clitoris: je me fait jouir ainsi deux fois. Je me sens aussitôt bien mieux. Pourtant cet incident aura des conséquences dont je ne me doute pas. En début après midi quelque un sonne. Je me mets un léger peignoir pour être présentable. C'est mon voisin, le plus proche qui me demande de le recevoir. Je le connais depuis toujours; c'est un homme de mon âge à peu près, serviable au possible. Quand je le fait s'asseoir sur le divan il a l'air gêné. Je lui demande ce qui le travaille: '- Je suis embêter de vous dire ça: je vous ai ...
... vue passer tout à l'heure, les seins presque dehors. Ça ma donner envie de…. - Envie de quoi ? - Ben je n'ose pas vous le dire, depuis le temps qu'on se connaît. - Je suppose que ça a rapport à ma tenue. - Oui, j'ai envie de vous depuis longtemps. Je sais que quelques fois vous vous commettez avec la boulangère. Maintenant je ne peux plus tenir: il faut que je vous fasse l'amour, vous savez je baise bien. Vous ne le regretterez pas du tout Sur le moment j'ai envie de l'envoyer bouler. Finalement il sait sur moi des choses que je pensais avoir dissimulée depuis toujours, en plus il est beau gosse. Je ne sais pourquoi sa proposition m'excite un peu. Pourtant je ne suis pas du genre marie couche toi là. Si je couche avec la boulangère c'est pour notre plaisir bien sur, c'est surtout pour ne pas avoir d'homme dans ma vie. Mais là, c'est un homme, qui plus est mon voisin. Il se lève, persuadé sans doute de mon refus. Je me lève aussi pour poser mes lèves sur les siennes. Ça fait longtemps que je n'ai pas eu de bouche masculine sur ma bouche. Il ouvre sa bouche, sort sa langue pour la lettre dans la mienne. Il embrasse très bien cet homme, mieux que la boulangère en tout cas. Je commence à mouiller. J'ai maintenant envie d'une queue. Je le fait rasseoir, me met à ses cotés; Nous nous embrassons toujours. Il sait que je ne porte sur moi que ce petit peignoir. Il passe une main sur le genou. Je ne peux plus arrêter son ascension: je ne sais même plus si je veux ou si j'accepte cette ...