Qui aime bien châtie bien
Datte: 04/12/2019,
Catégories:
ffh,
hbi,
anniversai,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
hsodo,
sm,
yeuxbandés,
confession,
... velouté des seins qui gonflent sous les caresses. La délicatesse d’un téton que j’aspire entre mes lèvres et que ma langue entoure. Le plaisir de sentir rouler entre mes doigts les mamelons pointés. Mais aussi la lente descente, autant suggestive que réelle de ma main qui flotte sur le pubis pour atteindre un clito humide et dressé grâce à mon mari. Voilà encore une nouveauté. Je pense déjà à inviter Laure seule et entreprendre avec elle des jeux féminins. Laure est près de la jouissance. Je laisse Pascal conclure et pendant ce temps je caresse sa queue qui doit être douloureuse de toute cette attente, contrainte par les anneaux pendant un long moment, puis bandée et impatiente ensuite. Dès que Laure a joui, je susurre à l’oreille de mon mari : — Allez, baise-là. Montre-moi comment tu as été un amant vigoureux. Montre-lui ta reconnaissance. Il est étonné et devait penser que le gode était pour Laure, mais obéit tout de même. Il faudra que je félicite mon amie pour son « dressage ». La queue entre d’une glissade dans le vagin lubrifié par la salive et le jus de l’orgasme. Je regarde les deux amants s’activer, retrouvant leurs habitudes et les secrets de leur corps. Non, je ne suis pas jalouse. Plus maintenant. J’ai compris que Pascal ne me trompait pas avec une femme mais que Laure avait su comprendre ses vrais penchants. En passant derrière eux, j’ai la vision magique des muscles des hanches et des fesses de mon mari que ses mouvements travaillent. Je le caresse, une main ...
... sur chaque hanche, qui descend pour rejoindre l’autre au sillon après avoir apprécié la fermeté des fesses. Je m’empare des couilles libérées des anneaux et que l’envie place maintenant de chaque côté du sexe. Moment magique. Il est sur le point d’éjaculer, je le sens aux bourses qui palpitent, mais je lui ordonne de se retenir et bloque ses mouvements en lui serrant les couilles et des claques sur les fesses. Maintenant c’est à moi de tirer parti de cela. D’ailleurs je vais commencer. Le liquide froid qui coule sur ses fesses surprend Pascal, mais pas Laure qui m’a vue chercher le flacon. Il ne tourne pourtant pas la tête, comprenant mon intention. Je dois maintenir le gode de la main pour qu’il ne penche pas. Un long moment je promène la pointe dans la fente recueillant un peu plus du liquide huileux. À nouveau je m’interroge sur la taille, prenant vraiment la mesure du trou qui doit l’accueillir. — Ouvre-toi, je lui demande. Il place ses mains presqu’au bord du trou et la traction commence à entrouvrir la porte arrière. C’est presque obscène de voir l’anneau musculeux s’ouvrir et faire la place à l’orifice sombre que mon mari a tant de fois confié à Laure. Le gland noir, tache sur le blanc des fesses, force le passage. Je ressens un sentiment de puissance alors que la corolle s’ouvre devant l’envahisseur. La longue tige avance, doucement, sur ma pression régulière. À chaque instant j’attends un mot de refus ou un cri de douleur. Mais non. Au tiers du gode, je stoppe la ...