Réveillon
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
grp,
sales,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
humour,
entrecoup,
... d’un instant, apparut sa toison rousse, broussailleuse, ténébreuse. Après ce grand moment d’émotion, Miguel, troublé, eut un peu de mal à se faire entendre. Son accent andalou ajoutait du sel à son hésitation : — Oui, je regrette… Enfin, je ne veux pas dire que je regrette vraiment, mais c’est vrai qu’on est allé un peu loin, peut-être… Mais nous, quand on a vu que les filles se dépoilaient, nous avons fait la même chose. C’est tout. On a suivi le mouvement. On a dansé avec l’orchestre, comme on dit en espagnol. Et nous, les gens de Grenade, nous avons le sang chaud… Bertile reprit la parole : — Bon, admettons, il faisait chaud, nous avions bu un peu, nous étions heureux d’être ensemble. Nous nous sommes déshabillés, comme à la plage. Admettons. Si nous avions simplement dansé à poil, je comprendrais encore. Mais c’est quand même pousser le bouchon un peu loin que de mettre la quéquette d’un mec dans sa bouche, non ? Une nouvelle fois, Simona se sentit visée : — Tu dis cela parce que c’est précisément la quéquette de ton mec. Seulement, ce que tu oublies de dire, c’est que Miguel avait préalablement trempé son sexe dans la crème du gâteau. Et pour nous, les Roumains, il est hors de question de laisser perdre de la nourriture. Vous ne pouvez pas comprendre, vous, avec des siècles de surabondance alimentaire. Anton, qui n’avait rien dit jusqu’alors et qui était dans ses petits souliers, leva la main comme à l’école : — Moi, il n’y avait rien à sucer sur ma queue à part ma ...
... queue, et on l’a sucée quand même. Cassandre : Évidemment à partir du moment où Simona l’a fait… Je n’allais pas laisser une copine toute seule dans le besoin… Bertile : Le besoin de sucer ! Et moi, pendant ce temps-là, je me suis retrouvée comme une con ! Miguel : Pas longtemps ! Bertile : Non, parce que tu as trouvé drôle de me foutre à poil en te faisant aider par ta bande de détraqués. Vous m’avez étalée sur la table et la partouze a commencé. Cassandre : Tout de suite les grands mots ! Bertile : Et comment tu appelles cela, toi ? Je me suis fait baiser par-devant et par derrière par tous les mecs… Cassandre : Tous les mecs ! Il ne faut pas exagérer : ils n’étaient que deux et dans les deux, il y avait ton copain. Bertile : Bref, ne tournons pas autour du pot : il y a bien eu partouze. Même les filles m’ont baisée, n’est-ce pas ? Mais encore, admettons. Admettons qu’à l’occasion de la nouvelle année, on se permette quelques folies. Anton, tu n’étais quand même pas obligé de faire partager à Miguel ton goût pour la bisexualité, mais passons. Un réveillon, tout est permis. Seulement, il y a eu plus grave. Simona : Je sens que c’est encore pour moi. Bertile : Oui, ma vieille. Mais qui a improvisé de jeter nos vêtements dans la rue, si ce n’est toi ? Anton : Là, je voudrais défendre Simona, parce qu’il s’agissait d’un jeu. Juste un jeu. Chacun devait aller récupérer ses affaires dans la rue. À poil dans la neige. Rigolo, non ? Bertile : Vachement rigolo ! Surtout que les voisins ...