1. Les amants de Lady Schneckerley (2)


    Datte: 04/12/2019, Catégories: Hétéro

    Dès qu’ils furent sortis, je me précipitai vers mon broc pour me laver la chatte. J’étais partagée de sentiments contradictoires. Je me sentais humiliée, j’étais en colère, ravagée par une haine profonde contre ces deux hommes dont je jurai de me venger mais en même temps j’étais frustrée. Je n’avais pas eu le temps d’atteindre l’orgasme comme quand je me câlinais longtemps. A cette pensée, je mis mes doigts sur mon con. Il avait souffert, j’avais un peu mal mais il avait apprécié le gros nœud de Calldick. J’avisai le gros gode en bois qu’ils avaient laissé traîner par terre. Je m’en saisis et le portai entre mes grandes lèvres. Je commençai à me caresser avec. Le désir me submergea aussitôt. Je me mis à califourchon sur une chaise, l’enfonçai en moi et commença à aller et venir dessus tout en me cramponnant au dossier. J’allais au moins avoir une excitation. Comme je n’étais pas loin d’aboutir, deux mains me saisirent les seins par derrière. On devine ma terreur, je criai tout en basculant mais les deux bras vigoureux me retinrent. "Allons, allons calme toi la belle, ce n’est que moi". C’était Calldick. Il était nu, le sexe gonflé. "Retirez-vous ou j’appelle"! Me retirer, sûrement pas ! Ton cochon de mari m’a coupé dans mes élans. Je ne pouvais pas rester avec le piquet dressé toute la nuit. Quant à me masturber, sachant qu’il y a là une bouche et un cul si accueillant... Retirez-vous vous dis-je ou j’appelle ! Tu peux appeler tant que tu veux ma belle. Le vieux bouc dort ...
    ... profondément et pas un seul domestique ne se risquera à s’opposer à moi. Laissez-moi. Je raconterai tout! Allons, allons, vois tout ce que tu as à gagner avec moi. Tiens, viens voir. Et il m’emmena vers le placard où mon mari avait pris le gode. Il y avait d’autres instruments. Calldick insista sur le fouets et les pinces. "La cravache ne t’a pas suffi ? Pour tes petits fesse sont bien zébrées ! Ton mari aime quand c’est violent. Et je ne serai pas toujours là pour l’exciter. Quand il m’envoie en mission il faut bien qu’il se soulage. Alors les coups pleuvent. Tu veux essayer son fouet... Et regarde ces belles pinces. Imagine-les déchirant tes tétons... et celles-là avec les poids suspendus à tes lèvres... Non je t’assure quand je ne suis pas là, elles dérouillent. Fie-toi à moi. Je peux t’apprendre comment le satisfaire et tu échapperas à toutes ces tortures... mais pour cela il faudra être toujours très gentille avec moi". Et il se rapprocha pour m’embrasser à pleine bouche. Je protestai pour la forme, l’insultai, lui crachai même au visage. Mais je dus reconnaître qu’il avait raison. Aussi quand il plongea deux doigts dans ma chatte, n’opposai-je qu’une résistance de principe. "Voila, tu deviens raisonnable... et puis avec moi tu as tout à gagner, car en plus tu vas te pâmer. Je vais t’emmener à l’orgasme plus facilement que ce pieu de bois avec tu jouais coquine. Car le mien est plein de bon foutre...". Donc nous avons un accord ? Nous avons un accord ma jolie. Viens. On va ...
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