L'INCONNU DU CINEMA (7)
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tout s’arrête, votre liberté vous sera rendue et nous vous oublierons. — Et si je ne dit rien ? — Alors nous continuerons à faire de vous ce que bon nous semblera, poursuivant votre éducation jusqu’à en épuiser notre imagination. Puis il poursuivit en riant : — Mais je vous rassure, ce n’est pas près d’arrivé, nous sommes inépuisables en la matière, c’est nos soumises qui craquent et qui abandonnent leur apprentissage. — Vos soumises ? Vous en avez d’autres ? — Oui Emilie, vous n’êtes pas seule, nous ne tarderons pas à vous mettre en concurrence, mon maître adore ça. — Bon trêve de discutions, je vous explique les règles, ici vous n’aurez pas le droit de mettre autre chose que la robe que voici et que vous connaissez déjà. Effectivement, il s’agissait de la même robe qu’il m’a fait porter le jour ou il m’a offerte à son maître dans la voiture, fendue jusqu’en haut des cuisses, dos nu descendant frôler la raie des fesses et un décolleté plus que provocateur. Cette robe était une véritable tuerie et m’allait comme un gant, épousant mes formes en les valorisant à l’extrême, on aurait dit du sur mesure. — C’est le seul vêtement qui vous sera autorisé dans cette demeure, aucun sous vêtement si minuscule qu’il soit. Le maître veux que vous soyez toujours disponible, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit et pour qui que ce soit. Marc m’a relevé le visage de façon à plonger dans mon regard. — Est ce bien compris ? Sans baisser son regard il attendit ma réponse. — Oui… ...
... c’est… compris — J’espère que nous n’aurons pas à vous le rappeler. — A j’oubliais, mettez aussi ce loup en dentelles qui sécurisera votre identité. — Maintenant, préparez vous et redescendez nous rejoindre. Et dire que mon mari avait insisté pour que je mette dans ma valise tout ce que j’avais de plus court et sexy possible, le pauvre s’il avait su que cela ne servirait pas. Comme convenu je n’ai pas mis de culotte ni de soutien gorge, juste des escarpins noir à talon aiguille et le même loup transparent que l’autre fois, il me permettait de voir au travers mais il empêchait que l’on puisse me reconnaître. J’étais totalement nue sous le tissu presque transparent et ce n’était pas pour me déplaire et rien que d’enfiler de nouveau cette robe mes souvenirs sont venus titiller la flamme du plaisir. Cette robe devait avoir une valeur fétiche ou sentimentale pour le maître pour qu’il me souhaite ainsi vêtue à chaque rencontre. J’ai ouvert la porte de ma chambre pour redescendre et j’ai pu distinguer plusieurs personnes qui parlaient juste en bas de l’escalier. — Bonjour chers amis, merci de votre présence J’ai reconnu la voix du maître en me disant que je ne connaissais toujours pas son nom, mais de toute façon il me fallait les rejoindre. Quitte à y aller, j’allais leur sortir le grand jeu, j’ai gonflé ma poitrine pour darder mes tétons à travers le voile et je me suis approché des escaliers. Maître à immédiatement repéré ma présence, il m’a souri et m’a dit : — Venez ma chère, venez ...