Emma : libérée, déchirée (1)
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... moment-là, tu devais déjà être "conditionné" à défaut d’être excité. Troisième phase : en arrivant en bas de chez moi, je chutais devant ta voiture. Tu en descendais illico et je te faisais constaté que j’avais très mal au coccyx et tu remarquais mon absence de culotte. — Mon Dieu ! Machiavel peut se rhabiller à côté de toi ! — Enfin, tu l’as bien compris, tu devais m’aider à monter chez moi, m’emmener dans la chambre, m’amener un verre d’eau, m’aider à me déshabiller, me mettre de la crème et finalement, me sauter ! Nous explosons de rire. — J’avoue qu’il aurait été difficile de résister à tant d’assauts répétés. — J’avais tout prévu. — Pourquoi ne l’as-tu pas fait ? — Mais je l’ai fait !! On s’était disputé un jeudi et j’avais passé les deux soirées suivantes le cul à l’air au mois de décembre, à me balader dans les bars où je savais que tu allais. Mais je ne t’ai pas croisé ! Nouvel éclat de rire. — Alors le dimanche, j’ai été chez mon voisin dont les parents étaient absents. Avec mon copain de classe, c’était le mercredi d’après. xwsxnnku — Bien ? — Le voisin, non. Mignon mais con et égocentrique au possible. Même au lit. Après coup, j’ai regretté car il m’avait prise de haut, comme si c’était "normal" que je veuille coucher avec lui. Et en plus, il avait eu la cerise sur le gâteau. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il est de loin le moins bien membré des quatre mecs avec qui j’ai couché. — Et ton copain de classe ? — Une copine était sortie avec lui en début d’année et ...
... elle nous avait dit qu’il avait, passe moi l’expression, une énorme bite. Mais bon, comme elle était un peu mytho et qu’elle avait eu très peu de copains, on ne l’avait pas prise du tout au sérieux. De plus, Julien, le nom de mon camarde, n’avait pas vraiment le physique de l’emploi. Il était super sympa, il avait de beaux yeux, mais il était petit et très mince, presque chétif. Je m’entendais super bien avec lui et c’est comme ça que j’ai fini chez lui. — Et ? — Et il a vraiment une grosse bite ! Éclats de rire. — Avec Julien, on s’était chauffé et je ne pensais plus du tout à ce que ma copine avait dit quand je déboutonnais son jeans, et quand j’ai sorti l’engin… whaw ! Ça m’a d’abord un peu refroidie, mais je n’ai rien laissé paraitre et j’ai commencé à le sucer. Pas facile. En fait, ce n’est pas que sa bite était bien longue. De ce côté-là, Paul et toi êtes mieux pourvus, surtout toi. Mais quelle largeur ! J’avais la bouche presque grande ouverte quand je le suçais ! Je ris. Elle enchaine : — Après, il s’est levé pour prendre des capotes. Les siennes, car celles que j’avais n’étaient pas du tout adaptées. Bref il s’est levé, il était nu et c’était étrange de voir ce petit maigrichon doté d’un si gros sexe. Je suis monté sur lui et j’ai glissé sur son sexe. J’avais l’impression d’être assise sur une souche ! Emma rit et poursuit : — Mais après un moment, ça a été un pied géant. J’ai joui pleins de fois. La levrette plus tard, fantastique, même si je préfère la longueur à la ...