La jouissance pour feuille de route
Datte: 06/12/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
vacances,
sauna,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
... ne me demande pas mon avis. Il n’en a pas besoin. Il remarque bien sûr que je ne le repousse pas. Pire, je suis comme lui, excitée par les amants que nous voyons. Moi aussi, je suis une salope. Je ne calcule plus. Je sens en moi un besoin, une envie, une nécessité que j’ai rarement connue. Moi aussi, je veux qu’on me prenne. Chienne en chaleur. Comme Marie que mon mari pilonne et crucifie. Moi aussi, je… — Ahhhhhhh ! Je ne peux retenir ce cri lorsque la queue pénètre en moi. C’est autant Hugo qui m’enfile que moi qui vais à sa rencontre, me penchant un peu plus, me cambrant encore plus, écartant les jambes pour lui faciliter la tâche. C’est une brûlure. Un fer chaud qui m’écarte. Un bâton d’une dureté et d’une taille inconnue. Une queue. Une bite. Je ne me reconnais plus et c’est bon. Nul besoin de penser, de réfléchir. L’envie me dirige. Dès qu’Hugo commence ses va-et-vient, j’ai envie de hurler, de parler comme la salope dans la chambre avec mon mari. Je voudrais lui dire combien c’est bon. Qu’il me baise, me bourre, m’utilise comme une pute prise sous une porte cochère. Mais un reste de lucidité me retient. Je mords mes lèvres au sang afin de ne rien révéler au couple qui est à quelques pas. Mon baiseur retient ses coups. Il n’a pas la liberté de nos conjoints. Il sait que nous devons rester des voyeurs. C’est mon choix. Enfin, c’était mon choix, maintenant je ne sais plus… C’est bon. Si bon. Il coulisse en moi. Je suis humide. Je suis chaude. Réceptive. Abandonnée. Et ...
... puis, je sens la chaleur monter encore. Je transpire de tous mes pores. Cela monte. Cela vient. Oh, mon dieu, est-ce que cela serait… Je jouis. Oui je jouis. Un orgasme. Une vague terrible. Un tsunami. Je tremble. Mes jambes ne me portent plus. Je vais m’effondrer et basculer de l’autre côté. Mais plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte. Je suis à genoux. Hugo a réussi à me garder. Il est toujours en moi. Il a compris que ma jouissance était si forte que je ne me contrôlais plus. Heureusement que je n’ai pas crié, le goût de sang dans ma bouche m’apporte la preuve que mes lèvres se sont sacrifiées. Il me prend encore. C’est si bon. Ma grotte lui est ouverte. Je suis bien, encore sur un nuage. Je veux que maintenant mon amant jouisse aussi. Je me penche un peu plus. Me voici, la tête sur la moquette, cambrée au maximum afin que ma croupe lui fournisse un angle différent. Au moins ma recherche du plaisir aura faite de moi une experte. Je ne vois plus ce qui se passe à côté. Mais la vue n’est pas indispensable. Les amants parlent. Est-ce une impression, mais Hugo me baise au rythme des coups dans le mur. Mais oui. Quelle perversité ! Nous sommes synchrones. Hugo accélère aussi. Je sens une nouvelle chaleur. Mais pourquoi ? Ce n’est pas possible. Ma main va trouver mon petit bouton. Il est érigé. Sensible. Demandeur. Je me caresse. Combien de fois ai-je dû me contenter de ce plaisir solitaire, succédané aux jouissances si ...