La clairière
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
tutu,
Nous nous sommes retrouvés en tout début d’après-midi pour passer quelques heures tranquilles en ce samedi du mois de juillet. La température est estivale, et une chaleur agréable règne sur la ville déjà vidée d’une grande partie de ses habitants partis profiter de leurs vacances. Nous flânons un peu le long du boulevard, nous racontant ce qui nous a fait sourire ou nous révolter pendant ces quelques jours que nous avons passés loin l’un de l’autre. Tout en discutant, je te regarde. Tu es habillée de blanc, une jupe légère en tissu judicieusement froissé qui descend jusqu’à tes genoux, un haut pas trop moulant, rouge, qui met en valeur tes magnifiques cheveux châtains. J’adore ta façon de marcher, ta façon de tourner ta tête vers moi et me sourire. Le balancement de tes cheveux me fait rêver. Tu es si belle. Mon regard descend aussi à la dérobée sur tes fesses, j’essaye de deviner si tu portes quelque chose sous cette jupe. Une culotte même blanche se verrait je pense, je tente de deviner un string. Je croise ton regard, tu sais très bien ce que je fais et me jette un regard qui veut dire à la fois : « petit cochon » et « continue », délicieuse fausse pudeur que tu manies si bien. Nous croisons quelques mecs qui te regardent, certains sans aucune retenue, ceux-là, je les méprise car je sais que tu n’aimes pas le manque de classe. D’autres me rendent fou en te détaillant de manière si détachée que je les sais sensuels à tes yeux. J’ai tellement pratiqué ce jeu-là que je sens ...
... la jalousie me tordre le ventre, car je sais aussi que tu connais ces regards. D’instinct, je t’attrape la taille ou la main, te colle contre moi. Ton sourire à nouveau vers moi, sans un mot, tu sais ce que je ressens et en joues. Nos pas nous dirigent vers le parc, promesse d’un peu de fraîcheur sous ce soleil de plomb. L’envie de nous isoler un peu de ce bruit ambiant. Nous partons sur un chemin qui s’enfonce dans une petite forêt, longeant le lac. Dans une petite clairière, se dressent deux tables de pique-nique juste un peu en marge du chemin, et nous nous dirigeons vers l’une d’elles. J’ai fait quelques photos lors de mon dernier déplacement, et je te propose de nous asseoir un petit moment pour les regarder sur mon appareil. Côte à côte, tandis que l’appareil s’allume, je me rapproche encore de toi, jusqu’à ce que nos jambes se touchent. Ton sourire à nouveau, ton magnifique regard qui s’allume. Feignant l’indifférence, je parcours la dizaine de photos que je voulais te faire voir. Mais je ne suis déjà plus sur ce que je te montre, ton parfum m’enivre, l’envie de toi… Cette clairière me donne des idées, nous sommes seuls tout en ayant l’impression que quelqu’un peut surgir à tout moment. Pourtant, depuis que nous sommes installés à cette table, personne n’est passé… — J’ai envie de faire des photos de toi, ici. Cette phrase ne te surprend pas, bien que n’étant pas photographe chevronné, j’ai déjà réalisé des milliers de clichés de toi. Lentement, je t’embrasse dans le ...