1. Cours d'éducation sexuelle des futures courtisanes au moyen âge. (7)


    Datte: 14/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... camarades ont une vue imprenable sur les 2 orifices dilatés qui recrachent à chaque contractions des sphincters leur dose de lave blanche. Madame Clerc veut sa part de gâteau et entraine Jeanne à faire comme elle. La Maîtresse et l’ingénue se retrouvent ainsi à genoux, bouche ouverte et langue tendue et recueillent la semence juteuse de ces fions rougis et déformés. Elles se gavent de ce foutre sans se préoccuper d’où il sort et se lèchent les lèvres pour ne pas en perdre une goutte. -Hum... c’est bon ! C’est chaud ! Mesdemoiselles, il ne faut rien perdre et comme dit le proverbe, « Jus de bite même au cul vaut trésors et bienfaits ! Paul est en panne et ne peut pas s’occuper de la 3ème larronne mais le Maître est toujours aussi vaillant et se déplace pour prendre le relais de Paul. MARTINE Putain ce que j’ai dégusté ! Il m’a fallu un bon moment avant que le plaisir l’emporte sur la douleur mais je dois dire que la sensation bien que bizarre est quand-même agréable. Le Maître vient de s’agenouiller derrière moi. Je suis pleine d’appréhension car je me rappelle l’énorme différence entre lui et Paul. — Reste calme, je vais y aller doucement mais si tu me dis d’arrêter, je n’insisterai pas, tu es la plus menue et ton cul à l’air aussi serré que ta chatte, écarte bien tes fesses pour faciliter la pénétration! Il pose la tête de son défonce-cul sur ma porte étroite encore dilatée. Son gland à peine plus gros que celui de Paul entre avec difficulté, il n’insiste pas et le ressort. ...
    ... Il attend un moment et enfonce de nouveau le chapeau qui disparaît petit à petit en moi. Je sens chaque millimètre de cette énorme poutre dilater au-delà du possible mon rectum, me déchirant à l’intérieur. Je m’accroche au drap et hurle encore plus fort qu’avec Paul. C’est atroce… -Nooonnn… Aaarrrggg… Arrêtez… J’ai trop mal ! Mais il est rentré entièrement dans mon cul et plus il s’enfonce, plus la grosseur exponentiel de son « plantoir » me laboure au-delà de ce que je peux supporter. Il ne bouge plus, ses couilles écrasées sur mes fesses, attendant que la douleur s’estompe. Mais dès qu’il bouge, je hurle de plus belle. Madame Clerc vient à mon secours : -Maître, quand la cheville est plus grosse que la mortaise, le charpentier doit changer de chantier ! Il la regarde sans rien dire et se retire de mes entrailles le plus lentement possible, pourvu que mes boyaux ne suivent pas ! Le Maître, l’obélisque toujours dressé s’adresse à Jeanne : -Alors… Tu veux essayer ? JEANNE. -Je relève le défi ! Après ce qui vient de se passer avec Martine, Madame Clerc insiste encore plus longuement pour graisser mon petit trou et le prépare avec ses doigts à recevoir le pieu de chair. Pendant de longues minutes, elle me masse et alèse mon œillet. Enfin le Maître positionne son énorme phallus contre mon anus et d’un coup de rein, me pénètre sur quelques centimètres. Je crois mourir tant la douleur est intense. Ma respiration est coupée. J’ai l’impression qu’on m’a enfilé un tison ardent dans le ...