1. Tahina


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, hplusag, grosseins, Collègues / Travail intermast, pénétratio, humour, sorcelleri, québec, occasion, extraconj,

    ... laissai se démener à son rythme un long moment la laissant prendre son plaisir bien accrochée à mon cou en lui suçant les mamelons goulûment, mains sur ses fesses à nouveau. Elle commença à gémir faiblement à mon oreille tandis que je me retenais déjà pour ne pas jouir trop vite. Au bout d’un moment elle dit en laissant mon sexe sortir du sien : — Viens… Le bec pointu du satané crâne d’oiseau me chatouillait le bout du nez tandis que ma belle Haïtienne me tenait mains plaquées sur la table de conférence en se déhanchant bien assise sur mon membre à nouveau. Sa peau d’ébène me fascinait, ses seins lourds étirés se balançaient merveilleusement et elle m’empêchait de les toucher par jeu en gémissant de plus en plus. Sa vulve étroite enserrait trop bien mon membre, mon scrotum était déjà tout contracté. Soudain, la porte de la salle de réunion s’ouvrit derrière moi et, à l’envers, je vis un grand Noir dans la trentaine en complet-cravate entrer pour s’arrêter tout près de moi. Mes couilles se contractèrent encore plus. C’est qu’il avait l’air drôlement fâché, le monsieur. Petit Jésus ! — Ou wont pou m’twonpe avèk yon ti blan ! lança-t-il furieux à Tahina.— Pral kòm, ki sa ou fè la ? répondit-elle.— Ou se pou mwen yo, te gen lòt moun. Ou pral m’épouser.— Non, tan !— Wi !— Mwen kras kite, pral kòm ! Pral kòm ! hurla presque Tahina. J’écoutais l’échange en créole sans y croire et en grimaçant un peu mal à l’aise. — Toutotan mal, ou va chwazi. Mwen li vòlò nanm li, si ou vle l’jwenn ...
    ... li ou fè tankou m’épouser.— Non, jamais, va-t’en ! cria-t-elle furieuse elle aussi à présent. Cela faisait se contracter son vagin contre ma bite plus dure que jamais et elle me tenait toujours les poignets et encore plus solidement sous l’effet de la colère. Ça me coupait la circulation, mes mains étaient déjà tout engourdies. — Ou p’ap bann plis, sal ti blan. M’ap fè ou vòlè t’on nanm. Là, le gars semblait s’adresser à moi en me fixant droit dans les yeux. Les siens étaient tout injectés de sang. Il sortit une bouteille bleue à long goulot d’une des poches de son complet, en prit une gorgée qu’il me cracha au visage et se sauva avant que Tahina n’eût pu faire quoi que ce soit. Elle me regarda médusée en se redressant, me lâchant finalement les yeux tout ronds tandis que je me passais les mains toujours engourdies sur la face. C’était de l’alcool et ce n’était pas mauvais. — Il a volé ton âme, Paul, dit-elle catastrophée mains sur les hanches. Il a dû payer un Bokor pour le faire. « Ah, ces croyances ! » me dis-je en fixant sa magnifique poitrine. « Navrant ! » — Tant pis, j’en ai une autre chez moi. C’est pas grave ! affirmai-je en lui prenant les seins.— Si, c’est très grave, il faut la récupérer, le bokor va la garder dans un po-tèt (pot de tête) dans lequel il enferme des âmes et sûrement la manger lors d’une cérémonie. En plus, il t’a jeté un sort aussi, le même qu’à moi.— Plus d’appétit sexuel ?— Oui.— Ça ne marche pas, Tahina, allez on continue. C’était ton petit ami, ...
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