1. Comment, à 18 ans, j'ai été perverti (6)


    Datte: 08/12/2019, Catégories: Gay

    ... pas captée, et qui te permettra de garder l’équilibre et de moins fatiguer tes jambes. Regarde là-haut !" Au-dessus du tabouret, un anneau était fixé à une poutre. Moi : "C’est trop haut pour que je me tienne à ça !" qxnqrrfs Lui : "Tu n’as pas compris ! Je vais y passer une corde à laquelle j’attacherai tes poignets. Ainsi, tu pourras te détendre au maximum en te laissant aller." Il sortit de la malle une paire de menottes en cuir matelassé et une corde au bout de laquelle se trouvait un crochet. Il passa la corde dans l’anneau, en s’aidant d’un escabeau, et vint en attacher le bout dans une poulie crantée, comme celles utilisées pour la voile, qui était fixée sur une poutre à hauteur d’homme. Lui : "Tu vois, grâce à ce mécanisme, je peux régler ta hauteur au millimètre près afin de te laisser descendre sur le Testeur, progressivement et en douceur." Il me mit les menottes, me les accrocha à la corde et, après avoir vérifié le bon positionnement du dispositif, me demanda de monter sur le "tabouret". Je m’exécutai, confiant. À l’aide de la manivelle, il enroula la corde pour en faire monter l’extrémité, et donc mes poignets. Il enroula jusqu’à ce que mes bras soient tendus et que mes pieds soient à la limite de se soulever du tabouret. J’avais le Testeur entre les jambes, je le fixais, impressionné, mais désireux de voir jusqu’où j’allais pouvoir l’avaler. Lui : "Oh mais tu es mignon dans cette position ! Si je te laissais là comme ça ? Ce serait drôle non ?!" Moi : "Bof, ...
    ... non, pas vraiment" Lui : "Allez, j’rigole, c’était pour détendre l’atmosphère" Par jeu, il tendit la corde et me fit perdre le contact avec le tabouret... J’étais suspendu en l’air, à poil, menotté, mais je pris le parti de me laisser faire, avec l’ivresse du laisser-aller. J’étais à la disposition de Roger, totalement soumis à ses désirs... Ayant bloqué le dispositif, il se saisit de son appareil, et pris quelques clichés en me demandant de me détendre, de baisser la tête et les yeux. Il se branlait en me regardant, excité par la scène. Moi, je bandais, mais ne pouvais pas me toucher... Il avait ma queue à hauteur de son visage et je sais que si j’avais été à sa place, je l’aurais gobée, mais Roger n’en fit rien. Il m’avoua plus tard qu’il n’avait jamais sucé de queue, que lui, ce qui l’intéressait, c’était de dominer autant les hommes que les femmes, et de fourrer sa queue dans tout orifice mis à sa disposition et de remplir ou recouvrir de jus les personnes qu’il soumettait. Je m’en étais déjà un peu aperçu... Après m’avoir bien mitraillé, il s’occupa un peu de ma queue, mais pas de la manière que j’aurais souhaitée. En effet, il me branla quelque peu, mais surtout, il me donna quelques petites gifles sur la bite, pour la faire balancer à droite, à gauche. Il utilisa ensuite ma queue comme d’un gouvernail, pour me diriger, me faire tourner à sa guise pour prendre des clichés dans tous les sens. Lui : "Alors, tes premières impressions ? Vue l’état de ta queue (je bandais ...