J'AI 23 ANS ET J'AI TROMPÉ MON MARI (1) - Histoires de Sexe

J'AI 23 ANS ET J'AI TROMPÉ MON MARI (1)

... que je n’en pouvait plus, mon string et mes leggings était inonder par ma chatte à soif de bite, mon vagin ne demandait que pénétration et sur-le-champ. Mon étalon me jeta sauvagement sur le lit et j’atterris comme par hasard à quatre pattes face à lui, à ce moment même on pouvait dire que la baise commençait et qu’il était désormais trop tard pour revenir en arrière. Sans perte de temps ,il baissa son pantalon et j’ai pu enfin apercevoir son sexe. Son membre avait rien de comparable a celui de mon mari qui était tout a fait normal. Dieu que son pénis était énorme! Sa bite devait faire au moins 25 centimètres de longueur et faire pas loin de 6 cm de diamètres, en plus d’êtres grosse elle était veinées et pointait droit devant sans aucune courbure. Sa verge me faisait penser à mon gode que mon mari m’avait acheté à la dernière Saint-Valentin, mon excitation monta plus d’un cran car dans mes fantasmes j’ai toujours rêvé de me faire défoncer par une vrai grosse queue. On peut dire que j’avais bien choisi mon cheval cette soirée là et j’avais hâte qu’il me fasse son rodéo. T’as vraiment une sacré grosse bite tu sais ? Elle te plait ? Certainement... Elle semble être dur dur dur. Prend la dans ta main. Wow ! Mon pouce et mon index ne se touche même pas. Regarde LOL ! Je sais pas si elle pourra entrer dans ma bouche. Essaye pour voir. J’ai commencé par lui lécher le bout du gland pour la lubrifier un peu avant de la mettre dans ma bouche. Dans ma main, je sentait son membre se ...

... raidir encore plus à chaque coup de langue et du liquide séminal s’échappa de son méta urinaire et coulait en filet le long de ma gorge, c’était très bon. Mes lèvres avançaient de plus en plus loin jusqu’à ce qu’elles embrassent son doux pubis rasé, je lui ai gobé sa bite de la même manière qu’un serpent avale sa proie, je m’impressionna moi-même. J’avais son sexe en entier bien enfoncé dans ma gorge, son gland devait être à mi-chemin d’atteindre mon estomac mais étonnamment je n’éprouvais pas le réflex de vomir. J’étais facilement habile à faire passer sa poutre à travers mon œsophage car je me pratiquais souvent à la maison avec le gode . OUFF ! Tu est tellement belle... Et tu suces tellement bien en plus ! SLUP ! SLUP ! SLUP ! As-tu envie que je te baise ? Aaaah ! Fais ce que tu veux de moi Non, non ! Veux-tu que je te baise ? Oui ! Je veux ta grosse bite en moi ! Qu’est-ce que tu veux ? Je veux que tu me défonce la moule avec ta grosse queue ! Le mec me tourna sur le dos avant d’arracher mes leggings avec mon string et leva mes jambes en l’air de façon que j’aille les genoux sur les épaules, j’étais littéralement plié en deux. La position n’était pas très confortable mais grâce à mes cours de ballet que je pratiquais depuis l’adolescence, j’avais acquis une certaine flexibilité et sans dire aussi que le désir et l’exaltation masquait l’inconfort subit. Ma moule mouillée était maintenant entrouverte et était entièrement à sa disposition. Avec ses doigt il m’écarta les lèvres ...