Cours de nuit
Datte: 10/12/2019,
Catégories:
fhh,
profélève,
gymnastiqu,
strip,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
... lui balancer la purée. Surtout tu gardes tout. Je veux te voir avaler. Trop tard. J’ai trop attendu. Si je me rue maintenant, c’est sûr qu’elle va s’étouffer avec la crème de son amant. Non je vais attendre. Je vais la surprendre la bouche encore chaude et dégoulinante du sperme qu’il va lui balancer. L’homme se bloque. On peut imaginer sa semence se déverser par à-coups entre les lèvres de ma salope de femme. Mais ce n’est pas si facile pour elle, tête en arrière. Je la vois repousser son amant pour pouvoir respirer. Elle se redresse. L’homme recule. Fasciné, je vois le visage aimé apparaître, souillé par la salive et le sperme qui coule. Elle tousse. Elle déglutit. Tout se passe en quelques secondes. Quelques secondes qu’il me faut pour réaliser que ce n’est pas ma femme. Non, ce n’est pas Maryse. C’est une autre. Merde. Je me sens comme un con. Heureusement, le trio ne m’a toujours pas remarqué. Je laisse retomber le rideau, recule à pas de loup alors que Franck annonce que lui aussi va venir et que… Je n’en saurai pas plus. Je suis déjà dans le couloir. Honteux mais rassuré. Non, ce n’est pas Maryse. Comment ai-je pu me laisser entraîner par cette idée qu’elle me faisait cocu ? Si je continue mon exploration, c’est uniquement par réflexe. Bien sûr, aux autres étages, les pièces sont vides. J’ai dû la rater pendant que je me lamentais en mari trompé et voyeur. Sur le chemin du retour, je ne peux pas chasser de mon esprit ce que j’ai vu. Je dois même repositionner ma verge ...
... qui gonfle à ces pensées.« Maryse, que tu veuilles ou que tu ne veuilles pas, tu vas passer à la casserole, j’en ai trop envie ! » En arrivant à la maison, je suis tout étonnée de ne pas voir Marc. Tout est fermé et éteint. Mais où est-il ? J’espère qu’il n’est pas passé me chercher ! Non, il n’y a pas de raison, cela fait des mois que je rentre seule. Il a confiance en moi lorsque je lui dis que nous bavardons après les séances. J’ai honte, mais je ne sais pas quoi faire. Bien sûr, il n’est pas question de le quitter. Mes parties de baise ne comptent pas. Ce ne sont que des moments de folie. Mon seul regret, c’est que je deviens accro et qu’avec Marc cela me paraît fade. Mais je vais bientôt retrouver le droit chemin ; d’ailleurs, les vacances approchent et les cours vont s’arrêter. Pas question de retourner au centre culturel. Il va falloir que je retrouve un équilibre. Enfin la porte s’ouvre. Marc revient. — Mais ou étais-tu ? J’étais inquiète.— Je suis allé t’attendre. Une pensée traverse mon esprit :« Catastrophe ! » Pourtant je m’efforce de faire bonne figure. — Mais je ne t’ai pas vue. Comme je ne te voyais pas, je suis entré. Tu sais que c’est grand ouvert ? À une heure si tardive, ils devraient faire plus attention.— Ah ! Que dire d’autre ? Je sens que l’inexorable approche. Pourtant il ne semble pas en colère. C’est pire. Marc paraît paisible. Je préfère de loin ses colères exprimées à ses colères froides où il devient cinglant et inflexible. Heureusement, mon mari ...