1. Le train du plaisir


    Datte: 10/12/2019, Catégories: fh, nympho, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme ecriv_f,

    ... train, tant mieux. Je glisse mes doigts sous le liserai de son chemisier et remonte mes mains pour écarter imperceptiblement les deux pans de son étoffe ouverte. Mes doigts approchent de sa poitrine, l’effleure mais ne la touche pas. Je regarde son reflet dans la vitre et découvre ses seins qui sortent effrontément de son chemisier ouvert, comprends qu’elle n’ait pas besoin de soutien-gorge. Pour la première fois mes mains glissent sous ses seins. Sa peau est chaude. Je perçois un léger soupir et entreprends la découverte de sa poitrine tendue et généreuse, glisse mes mains pour en faire le contour, pour en prendre possession. Apprécie-t-elle mes caresses ? Je me laisse guider par ses soupirs et fais rouler sous mes doigts la pointe de ses seins. Sa respiration est plus profonde, elle se cambre et ondule imperceptiblement du bassin tandis que mes baisers se font plus pressant et mes caresses plus amples. Vient-elle d’émettre un léger gémissement ? Je m’emballe. J’appuie un peu plus fort mon sexe entre ses fesses et la vois se redresser contre la vitre. Que ressent-elle ? Le train repart et le quai commence à défiler, lentement. Et si quelqu’un nous surprenait ? Quelle vision aurait-il ? Est-ce raisonnable ? Je ne sais plus, je ne me reconnais plus. Pendant que je scrute le quai mes mains remontent sous sa jupe. Bientôt la gare, j’ai finalement l’impression que cette situation ajoute à mon excitation. ELLE : Les gestes de mon inconnu sont maintenant francs, ses mains sont ...
    ... descendues sur mes seins sans aucune hésitation pour les caresser amplement. Je n’ai pas perçu une seule inquiétude quant à mon comportement lorsqu’il a glissé ses doigts dans l’ouverture de mon décolleté et qu’il a commencé à dégrafer mon chemisier. En quelques mouvements précis il l’a entièrement ouvert et je suis maintenant seins nus, collée contre la vitre. Les derniers voyageurs sont montés, le train ne va pas tarder à repartir. Les yeux fermés j’apprécie les caresses habiles de mon amant. Je ne veux pas rompre le charme et me contente pour l’instant de garder les mains écartées pour montrer que je m’offre entièrement à lui. Je sens son sexe en érection, me cambre pour aller à sa rencontre, le provoque, me redresse contre la fenêtre. Une secousse annonce le départ du train. J’ouvre les yeux pour regarder le mouvement latéral du quai et savoir ce qu’il va nous dévoiler, oscille du bassin pour sentir son sexe contre mes fesses, l’inciter à prendre ses aises. LUI : Mes caresses se font plus aventureuses, plus précises. Je remonte mes mains sous sa jupe et découvre le porte-jarretelles entrevu plus tôt, visite pleinement et longuement ses fesses, en apprécie la fermeté. Mes doigts glissent le long de ses cuisses pour frôler son sexe mais l’évite habilement. C’est trop tôt, le plaisir de la découverte est trop intense et unique pour me précipiter. Fébrilement je détache sa jupe pour la laisser glisser le long de ses jambes. Elle me laisse faire, se défait de son carcan qui ...
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