1. Ma femme avec deux hommes


    Datte: 10/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Un soir, Valérie ma femme rentra du boulot et me dit qu’elle s’était fait accoster par un homme d’une cinquantaine d’année, un soi-disant artiste peintre qui avait flashé sur elle et qui aurait aimé la prendre comme modèle car elle correspondait exactement au profil qu’il recherchait. - Je suis sûre qu’il veut me faire poser nue, même si il m’a affirmé le contraire, me dit-elle. Quelques jours plus tard, comme il savait où elle travaillait, il pouvait facilement rentrer en contact avec elle pour renouveler sa demande. Je suis tout de même arrivé à la persuader de le rappeler pour accepter son offre. - Ecoute ! Tu es jolie et cet homme a du gout puisqu’il te demande de posée pour lui. Alors pourquoi pas ! - Bon d’accord mais, je sens très bien ce qu’il veut, me dit ma femme. Viens avec moi s’il te plait, cet homme habite au milieu de nulle part et vit seul, je ne veux pas être toute seule avec lui. Nous sommes donc allés au rendez-vous effectivement, il habitait en dehors d’un petit village, dans une maison isolée à la lisière des bois, sans voisins proches. Nous étions en plein été, Valérie portait une petite jupe ample qui lui arrivait au-dessus du genou ainsi qu’un petit débardeur à fine bretelle légèrement décolleté. En arrivant devant chez lui, elle me dit : - Je sais qu’il est bien connu dans le secteur, il n’est pas méchant mais il est bizarre plutôt marginal et beaucoup de gens se méfient de lui. Quand il ouvrit la porte, il nous salua, mais je vis bien que ma ...
    ... présence le dérangeait. C’est un grand balaise plutôt bedonnant, et il porte une grande barbe grisonnante avec de longs cheveux. La description fait par Valérie correspondait tout à fait l’allure d’un artiste peintre. Il nous invita à entrer. Cet homme avait une apparence plutôt négligée. Je n’avais jamais vu une habitation aussi mal entretenue, tapisserie déchirée aux murs, vieux parquet non entretenu. Nous nous sommes assis dans ce qui servait de salon sur une banquette recouverte d’un tissu. Il prit place face à nous, et nous a proposé de prendre un verre. Ma femme s’assis les jambes croisées, collée contre moi comme si elle avait peur. Le fait qu’elle croise les jambes fit remonter sa jupe jusqu’à mi-cuisse. Durant notre discussion, les yeux de l’artiste ne pouvaient s’empêcher de se diriger sur les jambes et sous la jupe de Valérie pour essayer de voir ses cuisses ou ses dessous. Tout comme son regard qui plongeait dans son décolleté à chaque fois qu’elle prenait son verre sur la table basse. Le débardeur étant plutôt ample, une vue imprenable s’offrait à lui, la dentelle blanche de son soutien-gorge à chaque fois qu’elle se penchait. Puis, il nous emmena dans son atelier, à l’arrière de la maison un lieu mal éclairé, aussi en désordre que le reste de la maison, mais la pièce était grande et disposait même d’un lit et d’un canapé. Par la fenêtre, on pouvait distinguer l’entrée de la forêt à quelques dizaines de mètres plus loin. Sur les murs trônaient des toiles de nu, ...
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