Tic ! Tic ! - 5
Datte: 10/12/2019,
Catégories:
Humour,
Lesbienne
Mature,
... statuette étrange pour avoir ses deux mains libres. Caresser les fesses de Marie Lemieux en posant son autre main sur les fesses rondes de l’écrivaine qui sembla apprécier, mais un peut surprise, la fit mouillé encore plus qu’elle ne l’était déjà.Dorine fut surprise par la main aux fesses, mais voir Sylvie toucher celle de Marie Lemieux en même temps l’avait rendu toute chose. Elle aimait ça, jamais une autre femme ne l’avait touché, mais elle en avait rêvé souvent. Alors ce petits jeux coquins lui plaisait et faisant gonfler son sexe et ses mamelons, sans parler de l’orgasme de toute a l’heure avec les filles. Et, elle eut une soudaine envie de toucher elle aussi le beau derrière de Marie, elle la trouvait si belle, et elle le fit, le cœur battant. Elle trouva les fesses si douces et si chaudes et même Marie-France les imita. Les v’là à trois pelotant le cul de Marie Lemieux qui ne semblait pas s’en plaindre, même qu’elle souriait. Wow ! Jamais elle n’aurait cru qu’une situation pareille puisse se produire en venant passer la semaine ici. Elle espérait déjà que tout ça se terminerait au lit. Tant qu’a essayé quelque chose, pourquoi le faire à moitié ?Marie sourit en soupirant très fort un peu découragé par les filles qui lui caressaient les fesses toutes les trois cette fois. C’était très agréable, mais la, elle avait une mission, suivre Paul. Tout sourire elle se retourna en se reculant un peut pour leurs faire des petits yeux méchants. Les femmes lui firent leur plus ...
... beau sourire.— Faux pas vous gêner les filles, tabarnouche. C’est bar ouvert apparemment. Coud don, il est tu si beau que ça mon derrière ?Elles acquiescèrent toutes les trois en riant.— Si c’est bar ouvert, fit la prof en avançant la main vers le sexe de Marie, mais celle-ci se recula un peut plus en riant.Marie soupira à nouveau en se retournant juste à temps pour voir Paul qui venait de réapparaître au fond du couloir, sortant de la pièce tête basse, cherchant toujours quelque chose et il venait vers elles. Elle se sentit tout électrique.— Eh.., murmura-t-elle paniquer, cacher vous les filles.Elles se faufilèrent toute très rapidement dans des coins sombres entre des étagères comme des petites souris qui viennent d’apercevoir un gros chat affamé. Marie, en se reculant rapidement sur le côté d’une grande armoire, fut surprise de sentir qu’elle écrasait des seins énormes et durs avec son dos tandis que des bras l’enlaçaient et qu’un menton se posait sur son épaule. Comme Dorine était juste à côté d’elle aplatie contre le mur et Marie-France juste en face, tout sourire, elle comprit que c’était Sylvie, la prof, évidemment. Elle déglutit sentant les mamelons de la femme qui durcissait contre son dos et ses propres seins gonfler par les bras qui les soulevait. Son cœur commença à battre plus vite et une vague de chaleur la traversa, elle sentit même son sexe mouiller et Paul approchait. Elle entendait clairement le son de ses pieds nu sur le plancher de bois franc et commençait à ...