Offerte à mon photographe et son Patron (1)
Datte: 11/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... quelque minute. Complètement perdue dans mon délire jouissif, je l’implore de me faire mal. Ce con me fesse et il fesse dur. C’est encore pire que ce que je pensais, j’aime ça. Toutes les fessées que me donnait mon père sont à mettre au rebus. Lui, là, ce maigre, il fesse aussi comme un dieu et mon corps s’embrase, se consume de cette brulure, de cette chaleur qui s’étend à tout mon corps, jusqu’à l’extrémité de mespoils, de mes cheveux. Quand il jouit encore en moi, c’est un véritable feu d’artifice, le 1er aout en Suisse, le 14 juillet en France, le 4 juillet aux States tout ça réuni. Quand il tombe sur moi, sa tête dans mes seins, je le pouponne, le dorlote, je veux plus me séparer de lui. Il peut me demander de poser quand il veut, me faire prendre toutes les positions, m’attacher et me fouetter, j’en veux encore. Je l’attire sur mon visage, le couvre de baiser. Le calme revient peu à peu. Il se relève, me tend la main, me redresse. Encore toute éparpillée, je le regarde prendre du fric dans sa caisse. — « Pour toi, c’est 6000.- d’entrée. Je devrais te donner toute ma caisse. Jamais un modèle ne m’avait prendre mon pied de la sorte. » — « Mon biquet, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu me veux ou pas ? » — « Et comment ! » — « Ok, je veux bien de ton fric pour autant qu’il ne vienne pas de ta poche, on est bien d’accord ? » — lzklttey — « Ben non, sinon je bouffe plus moi. » — — « Alors on est d’accord. Tu me dis quand, où et comment et je viens. Parce que là, ...
... dans ma pogne, j’ai plus que deux mois de salaires, tu pige. Et si en plus on s’envoie en l’air, toi et moi. Tu fais de moi la gironde la plus heureuse du monde. » — « Toi, gironde, comme tu y vas, non, t’es juste si imparfaitement parfaite. T’es à croquer pour tout te dire. » — « Et toi le plus mignon des maigrichon. Sans oublier que tu baise comme un dieu. La prochaine, défonce mon cul, il est à toi comme le reste. » — « Tu fais quoi demain ? » — « Rien, enfin si, j’ai bien envie d’une petite virée. Heu, on est bien samedi, là ? » — « Pas tout à fait, on est dimanche et il est cinq heures du mat’ » Il m’a couché sur son bureau, le mignon était en rut et moi en chaleur. Il m’a enculé à sec, j’ai crié, j’ai eu mal, mais ça n’a pas duré. Après, c’était que du bonheur de le sentir bien profondément en moi. Je le suppliais de me baiser à la dur, à la cosaque comme disait ma grand-mère. Et il me bourre et me fesse encore de sa ceinture de cuir. Putain ce que c’est bon de se faire démolir de la sorte. Punaise, si j’avais ça su plutôt dans ma vie. Bien plus tard, c’est sur la terrasse d’un troquet qu’on se croque quelque croissant. — « Tu vois cette tour ? » — « Ouais ! » — « Après on y va, un copain y a un donjon, une salle de supplice. C’est lui, enfin, si tu es d’accord, qui te fera connaitre d’autres plaisirs que la ceinture sur ton beau cul. » — « C’est comme un dominant ? » — « C’est ça. Mais bon, tu ne seras pas sa soumise ou son esclave. C’est juste pour des photos. Je sens ...