Chaussures à son pied (1)
Datte: 11/12/2019,
Catégories:
Lesbienne
(Le Matou libertin : Cette histoire m’a été inspirée par une amie facebookienne qui, venue de Province à Paris, avait fait une razzia dans les boutiques lors de soldes de janvier). Après les folies des Fêtes de fin d’année au cours desquelles j’avais quelque peu abusé de la bonne chair et du champagne, j’étais restée à Paris pour quelques jours et profiter des soldes afin de renouveler un peu ma garde robe pourtant déjà bien garnie et acheter quelques paires de chaussures chez des grands spécialistes que l’on ne trouve pas en province. Je m’étais organisée en faisant quelques repérages pour savoir ce que j’achèterais… Le premier jour, je me suis rendue sur les grands boulevards pour trouver des petites tenues pas chères (enfin, quand même quelques dizaines d’euros chacune) pour tous les jours… Ce n’est pas parce qu’on travaille à la maison devant son ordinateur qu’il ne faut pas être à son avantage… on ne sait jamais quelle visite on va avoir… Après des essayages rapides en cabine, dès mon retour à l’hôtel, j’ai essayé longuement ces nouvelles tenues, des robes, des ensembles jupe et chemisier ou sweatshirt en réfléchissant aux chaussures que je pourrais assortir ou acheter dès le lendemain. Après une nuit plutôt agitée dans un club de l’avenue Foch, je n’étais guère encline à me lever de bonne heure aussi est-ce en début d’après midi que j’ai commencé à écumer les chausseurs du secteur des Champs Elysées… mais finalement je ne trouvais rien de particulièrement ...
... intéressant… Il est vrai que je cherchais des choses bien précises… mais totalement différentes de ce qui m’était proposé. Finalement, j’ai hélé un taxi qui m’a déposé rue du Faubourg Saint Honoré où je savais trouver un chausseur réputé pour ses produits… et l’ambiance feutrée et luxueuse de ses boutiques… Dès l’entrée, j’ai été accueilli par un bel homme qui m’a demandé quel genre de chaussures je cherchais. Grand et les épaules larges, je crois plutôt qu’il était là pour assurer la sécurité mais, comme toutes les vendeuses étaient déjà occupées avec des clientes, il s’est servi d’un interphone en disant : • Tatiana, venez, nous avons besoin de vous en renfort. Avec un nom pareil, je m’attendais à voir arriver une blonde slave avec des cheveux noués en tresses… mais c’est une noire sculpturale qui s’est présentée… Aussi grande que moi, c’est-à-dire près du mètre quatre vingt, elle avait de longs cheveux ondulés avec des reflets roux noués en queue de cheval… et un regard de biche accentué par un maquillage discret… J’ai pensé en moi-même que c’était vraiment une belle plante… Mais ce qui m’a attiré ce sont ses lèvres pulpeuses, très légèrement négroïdes et une somptueuse poitrine moulée dans un caraco de couleur mordorée qui laissait apercevoir discrètement l’amorce de la vallée séparant les seins. La taille prise dans une large ceinture de cuir souple s’évasait ensuite sur des hanches larges comme pour les souligner. Une jupe de lainage, assez courte et des bottines à petits talons ...