La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°810)
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... douche, je vérifiais par acquis de conscience mon épilation, je me fis un masque capillaire, puis je me fis de jolies ondulations à ma chevelure comme le Maître les aimait. Je prenais le temps de me passer un lait hydratant légèrement parfumé, puis une huile corporelle irisée. Je me fis un maquillage léger. Je vérifiais la propreté de mes accessoires. Je me sentais belle et désirable, femme tout simplement… Un nouveau regard sur l'heure fit accélérer mon rythme cardiaque. Il restait seulement cinq minutes avant l'arrivée du Maître ! Je mis avec empressement mon collier, y attachait ma laisse, étalais sur une tablette mes accessoires, posais mes pinces à grelot sur mes tétons, passais mon bâillon-boule, en prenant soin de laisser retomber mes cheveux en cascade par-dessus et sur mes seins. Puis je me positionnais à genoux aux côtés de la porte d'entrée après avoir actionné l'ouverture du portail électrique. J'étais installée depuis seulement quelques secondes, à genoux, cuisses écartées, le buste droit, tête et regard baissés, la poignée de ma laisse posée sur mes mains ouvertes tendues devant moi, telle une offrande, lorsque j'entendis le crissement de pneus sur les graviers dans la cour. Mon coeur fit un bond, et je crus qu'il allait s'arrêter de battre. La porte de la petite entrée extérieure s'ouvrit et dans la foulée, celle de la maison. Il se trouva ainsi devant moi, immobile et silencieux. En effet, le Maître ne bougeait pas, ne disait rien, mais je sentais Son regard ...
... et Sa puissante Domination peser sur moi... La tension dans mes bras devenait douloureuse mais je restais immobile. Lorsque Monsieur le Marquis décida que c’était le moment pour Lui de bouger, contrairement à ce que je pensais et que j’aurai voulu, Il ne prit pas ma laisse, mais me contourna et rentra chez moi. Au bruit que j’entendis, je sus qu’Il venait de s’asseoir dans le canapé d’angle gris du salon faisant face à la cheminée où brûlait un agréable feu de bois. Lorsqu’un claquement de doigts, suivi d’un léger sifflement retentit, signal qui voulait dire que je devais me mettre à quatre pattes et rejoindre les pieds du Maître sans tarder. Je me mis en position, sans prendre le temps ne serait-ce que d’essayer de détendre un peu mes bras engourdis, après avoir passé la dragonne de ma laisse dans mon collier pour ne pas risquer de me prendre les pattes dedans. Une fois arrivée aux pieds du Maître je repris la poignée en main, me prosternais, mais au lieu de garder les mains tournées vers le sol, je les positionnais paumes vers le plafond afin de Lui présenter ma laisse. Monsieur le Marquis se redressa légèrement, me flatta furtivement la croupe, comme on l’aurait fait d’un chien qui vient de nous contenter, me laissant penser qu’Il était fier de moi et de mon obéissance, mais toujours sans toucher à ma laisse, puis Il se renfonça dans le canapé, toujours silencieusement. Au bout de quelques minutes, je l’entendis défaire la fermeture éclair de son pantalon. Un claquement de ...