Le temps suspendu
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ff,
jeunes,
couleurs,
poilu(e)s,
amour,
miroir,
odeurs,
Masturbation
massage,
Oral
init,
exercice,
confession,
... grain de beauté, une mini lentille de chair blanche qui se tient en sentinelle juste au bord de l’orifice. Et pour couronner le tout, quelques poils folâtres d’un blond presque transparent semés par une bonne fée afin de rendre l’ensemble mignonnet. — C’est sale ! m’avoue-t-elle.— Comment ! m’exclamé-je, tu ne t’es pas lavé les fesses ?— Arrête de te moquer ! Bien sûr que je me suis lavée, tu l’as bien vu ! C’est pas ce que je voulais dire…— Je le sais bien, mon amour. J’ai la voix rauque quand je lui dismon amour. Elle ne proteste plus. Peut-être que mon intonation émue l’a rendue muette. Elle ondule même de la croupe, comme si elle voulait se débarrasser d’une démangeaison gênante. Je me plaque contre elle, l’agrippe aux épaules, fourrage dans ses cheveux fous pour atteindre sa bouche. C’est elle qui happe la mienne. Ses dents mordillent ma lèvre, puis elle aspire ma langue, la suce comme si c’était un sucre d’orge. Ça produit un drôle de bruit mouillé qui m’excite terriblement ! Ma poitrine glisse sur son dos rendu onctueux par l’huile de massage. La pointe érigée des mamelons en est dure, pareille à un stylet qui court sur un parchemin soyeux. Quel bonheur intense d’écraser mes seins contre elle ! Désormais, ils remplacent mes doigts. Ils la massent et se massent dans le même temps. D’indescriptibles ondes de plaisir les traversent tandis qu’ils se frottent langoureusement contre le velouté de sa peau. En bas, mon ventre épouse étroitement le relief vallonné de ses ...
... fesses qui montent et qui descendent. J’ai le mont de Vénus cavalier, il épouse leurs mouvements sensuels et mon clitoris se sent tout ému de cette lente chevauchée… C’est délicieux. Je me frictionne lascivement contre leur tendre rondeur. Mon souffle de plus en plus haletant, porte à sa bouche, des soupirs de plaisir. Je sens ma vulve qui baille, le suint de mon plaisir qui s’épanche et doit souiller sa peau. Je n’en peux plus de la désirer, de sentir les prémices de l’orgasme investir inéluctablement ma chair. Pourtant, je veux repousser la jouissance. La tenir en laisse. Pas encore, pas tout de suite ! Je veux prolonger à l’infini ce moment de grâce. Je me sépare d’elle et m’agenouille à son flanc. Mon regard caresse ses courbes épanouies, surtout celles de ses fesses. Pourquoi Allah a-t-il eu l’idée saugrenue de mouler de la sorte le postérieur féminin ? De nous coller ces deux hémisphères charnus au bas du dos ? Et de dissimuler entre eux le double trésor de nos désirs ? Contempler cette croupe si parfaite me fait monter l’eau à la bouche… j’y mordrais avec bonheur ! Mais Cassandre ne sait rien de mes réflexions callipyges. Elle s’en fout ! Ses reins continuent à rouler, toutefois le mouvement en est plus ample maintenant qu’elle est libérée de mon poids. Et sa main peut se faufiler subrepticement sous son ventre pour aider à la quête du plaisir. Ses jambes se séparent, s’ouvrent comme un sésame. Son sexe apparaît dans l’entrecuisse. Sous mes yeux, les grandes lèvres ...