1. Fermeture tradive au Goldenshoes


    Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, magasin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme chaussures, entreseins, Oral pénétratio,

    Kinkytown, April 17th, 5.55 PM. Comme tous les soirs depuis plus de cinq ans, je suis occupé à compter la caisse de mon magasin de chaussures. Ce magasin, voilà presque un siècle qu’il existe. Depuis cinq générations, nous sommes cordonniers de père en fils. Enfin, quand je dis cordonnier… mon grand-père, son père et son grand-père l’étaient. Déjà quand mon père a repris le magasin, on ne peut plus dire qu’il était encore cordonnier. Aujourd’hui, les gens ne réparent plus leurs chaussures, ils en achètent des neuves. En tout cas, les grands magasins qui fleurissent dans la région ne sont pas près de nous faire peur. De tout l’état « The Goldenshoes » est le seul où les gens sont sûrs de trouver ce qu’ils cherchent. Je vends pour tous les goûts, toutes les marques, tous les prix, toutes les tailles. Et mon affaire marche ! Enfin, si je ne travaillais pas autant, je ne sais pas ce qu’elle deviendrait. Voilà vingt ans que je travaille tous les jours de neuf heures à dix-huit heures, sauf le dimanche. Et je ne vis pas particulièrement dans le luxe. Enfin, ma vie me plait, je rencontre des gens, même si c’est souvent les mêmes clients. Il faut dire que Kinkytown est un village plutôt calme. Toujours est-il que, cet après-midi-là, je suis sur le point de fermer le magasin quand la clochette de la porte retentit. Une superbe jeune femme pénètre alors dans le magasin. — Bonjour madame, bienvenue au Goldenshoes.— Bonjour monsieur. Je n’avais encore jamais vu une femme aussi jolie. ...
    ... Encore moins dans mon magasin. Il faut dire que depuis la mort de mon père, je ne sors plus beaucoup. Mais là, la vision de rêve qui vient de passer la porte dépasse tout ce que j’aurais pu imaginer. Elle porte un mignon petit tailleur rouge cerise en tissu épais. Sa veste sans poches est courte et fermée par deux petits boutons, sa jupe est très courte et plissée. Elle porte des bas noirs, de hautes chaussures assorties à son tailleur et un petit bustier noir en satin. Cette femme est d’une élégance rare. Son charme a envahi la pièce comme un parfum envoûtant. Jamais je n’avais éprouvé une telle attirance pour une fille en la voyant, comme ça, quelques secondes. Tout en terminant mes tâches quotidiennes, je ne peux m’empêcher de la suivre du regard tant sa silhouette est attirante. Elle déambule entre les rayons avec une grâce folle. Elle s’arrête parfois pour regarder un modèle, s’assied pour l’essayer. De mon comptoir, j’observe subjugué son corps magnifiquement sculpté. Je prends un plaisir étrange à admirer ses jambes et, de temps à autre, j’essaye d’apercevoir ses seins dans son décolleté. Il faut dire que son bustier semble très ample et s’élargit volontiers lorsqu’elle se penche en avant. Après quelques recherches, elle s’approche du comptoir avec une paire de chaussures noir dans une main. — Excusez-moi. Auriez-vous les mêmes en trente-neuf ?— Bien sûr… Ma réponse dissimule avec difficulté un certain scepticisme. Les chaussures qu’elle a choisi sont belles, mais pas ...
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