Un short LOVE, un short de pute. (2)
Datte: 14/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... l’extérieur et ne jamais emmener quelqu’un à la maison. De son côté elle habite dans un petit lotissement et ne veux pas prendre le risque d’accueillir un homme, vis à vis de voisins un peu trop curieux. Il reste la solution de l’hôtel, mais il faudrait en trouver un "de passe", et puis ça reviendrait cher si on doit avoir une liaison qui dure. Elle a eu alors l’idée de se retrouver dans les toilettes de cette grande surface, des toilettes qui se trouvent juste à l’entrée et qui sont libres d’accès, sans aucune surveillance. Notre déjeuner est terminé et je la suis dans ce lieu. On a déjà tout prévu, sans surprise, un rapport rapide pour éviter de se faire surprendre. Je baisse mon froc et mon slip, elle s’acroupit, me suce, me fait bander, me félicite pour ma jolie queue. Elle attrape un préservatif et me l’enfile. Ce n’est pas qu’elle ne veuille pas de mon sperme, bien au contraire, mais si je remplis son fion de ma sauce, elle ne pourra pas se laver et ne veux pas sentir mon foutre dégouliner sur ses cuisses. J’ai donc ma capote, elle se relève, enlève sa culotte, se retourne, remonte sa jupe sur ses reins, se penche en avant, écarte ses fesses: — Vas-y, encule moi, je veux être ta salope. — Avec plaisir ma chérie, mais ne t’inquiète si tu as un peu mal, c’est normal la première fois, mais après tu ne vas plus pouvoir t’en passer. Je suce mes doigts, puis je taquine son illet, tâte sa rondelle, m’introduit: un doigt, deux, trois, et ...
... elle accepte avec des petits cris, mélange de douleur et de plaisir. Elle est suffisamment ouverte pour que je tente mon sexe. Je plaque mon gland sur sa rosette, et je pousse, lentement mais sûrement. Je suis tout elle, bien ancré, profond: — Ca va? Je ne te fais pas mal? — Un peu, mais c’est supportable. Encule moi, lime moi, il faut que j’essaye, c’est aujourd’hui ou jamais. Je veux être ta chienne, comme dans ton récit. - Hum, tu es une chaude toi, je vais remplacer ton mari, ce connard qui ne te mérite pas. — Ne dis pas ça, il est très gentil. — Oui, peut-être, mais mauvais baiseur. C’est un bon queutard qu’il te faut, avec une grosse bite bien vaillante. Ose dire le contraire! — Non, tu as raison, j’ai envie de ta queue, de la sentir m’exploser le fion. Encule moi, encule moi fort, c’est trop bon! Je me déchaîne, la défonce, la matraque, et elle jouit, gémit, râle, en retenant ses cris pour ne pas alerter d’éventuels visiteurs. Je finis par jouir entre ses reins, dans ma capote. Je me dégage, la retire pour la jeter dans la cuvette, et elle me suce pour me nettoyer. On est satisfait tous les deux de cette première rencontre: — C’était super ma chérie, ça t’a plu? — Oui, je n’aurais jamais imaginé que c’était aussi bon. — On se revoit demain? — Non, j’aurais bien aimé, mais ce n’est pas possible. Je t’écris ce soir, et on se fixe un autre rencart. — Ok ma belle salope, je compte sur toi. — Promis, ne t’inquiète pas. A suivre...